Des autoroutes dévastés par le vent, des chemins disparus
Des rues devenues des tombeaux, des vandales après des roues
Voilà à quoi le monde ressemble dans mon idéal à venir
Sur la tête de ma promise une apocalypse sans explosions
Juste le monde vieillissant dans son jus et la mort qui se répend
Sur les devantures de grandes cités oubliées par la grâce divine
Où errent les hommes furieux et les âmes en peine, un désespoir profond
Qui profanent l'idée de Ciel et des anges avec la volonté de régner
Et ce spectacle serait le seul que nous aurions dans nos têtes connectées
La fin du monde à perpétuité la férocité et les murs décrépis par le sang de la guerre
Je ne vois que morbidité et eaux saumâtres pour purifier les temps de grande famine de l'humanité
Des coeurs croupissants dans les trous de béton armé où rien ne pousse de bon de vrai
Sinon la surveillance des machines et le hurlement des guns, le dégoût serait prenant
Comme une main qui serre le cou ou le baton qui abat des sentences sans but sans sens
La seule volonté de survivre aux heures, sans nul hourra juste la pendaison de la joie
Et l'immensité de la mer impraticable et polluée par les mauvaises sciences
Voilà le trésor de la certitude d'être les seuls a pouvoir changer le monde illusoire
Dans lequel ma morne enfance à été bercé par des contes barbares sans la vérité de l'amour.
Serais-je de ça. enfant de plastique foudroyé. Adorateur de l'atome en fision
Du sacrement des ruses survivalistes des pièges de la misère de l'âme
Aucun Opium pour appaiser la morsure du monde si noir que la nuit craint l'attente
Breche de la vie par la quelle coule le sang de l'innocent pour que l'on se repait
Vivre des cérémonie de la chair dans des vases dorés là s'écrase les sanglots de la jeunesse
Je ne perçoit rien qui donne grandeur à l'effort et raison aux chagrins car tout est condamné
Dans la prison de boite craniennes intimement contraintes à ne plus être sûres du réel
Des réalités de la vie sans même se poser la question et laisser les voix gouvernées la peur
Là dans ce long sanglots des machines en manège l'enfant seul ne pleure plus la chute du père Roi
De la mère ailée mais se fige dans une grimace affreuse pour paraitre digne du cirque macabre
Je ne conçois plus de belle amours pour rendre grâce à la vie battante mais le souffle souffreteux
Je m'étouffe pour que les monstres invicibles ne m'entendent pas gémir mon mal-être
A là face d'une population que se suicide consciente que rien ne nait de la poésie des rêves
Et s'acharne à rester des ventre gloutons et aveugles oubliant la promesse de nourrir le Jardin
Pauvre de le savoir je ne suis plus qu'une poupée de chiffon dans une tragédie cosmique.
Qui donnera l'espoir ce souffle à cette litanie blessé par son propre reflet dans les haut-parleurs
Qui font pâle figure et désamorce toutes les tentatives en brandissant la richesse de leur réussite
Il n'est que des fardeaux d'or et de diamant du sang, et l'innocence de l'enfant est bafoué
On attable toutes les convives de Pandore et l'espérance est châtié dans un théâtre de femmes battues
D'homme liches de gosses grossiers de porcs sur des trônes d'ossement qui se gargarise de régner
En insultant les idées prometteuses de ne pas être venue au monde avant en avortant leurs mère et émasculant le père
C'est mon sentiment que je livre comme de la viande de cordon humanitaire pour des yeux affamés de la mort
J'ai comme perdu mon souffle et je n'ai plus que cette mélodie noire comme la suie d'une machine furieuse
Qui frappe dans ma tête un chant de liberté mais par le renoncement aux idéaux beaux des premiers jours sous un préau
Ou dans les bras d'une amoureuse douce, toute cette tristesse a délavé mon cerveau et les gens avalent des choses
Comme si tout est parfaitement clair et que la vie leur a tout donné parce qu'ils sont de bon moutons qui broutent
Voilà en ce monde naître la glorieuse résilience de ceux qui ne veulent pas assumer leur fautes passées
Donnant à l'avenir le devoir de tout changer en chantant que le monde est entrain d'exploser et de mourir de chaud
Comme le dernier gringalet de la bande qui refuse de courir parce que c'est trop haut, loin, je suis fatigué de ce monde
Puis un jour on soulève une étoile en pierre et on la jette dans le vent en se promettant qu'elle rejoindra
Comme les voeux de l'enfance le ciel étincellant pour briller et éclairer un autre que soi pour que la fête continue.
Mais là encore les coeurs fascistes et leurs facination pour la mort, diront que ce n'est qu'un beau rêve d'enfant
ALors j'écris pour gravir les étoiles éssuyer sa suie, pour le grabuche pour grandir un mot comme espoir comme amour
Qui veut m'en empecher n'est pas âme debout mais ver rampant que je crache comme de vers de guerre à la folie humaine
Je viens exploser le silence de la raison et inversé la marée pour tsunamiser d'humanité tout et si tu me crois pas
Tu vas voir ta gueule dans le miroir et me dire que tu l'as oublié cette petite musique qui donne le souffle de prétendre
Pouvoir faire taire, le pire mc criminel du net, le neck plus ultra poète dans ta face un poème en guise de bombes au napalm.
texte de Monnz
texte de Monnz
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: texte de Monnz
La bise à MoonZ.
Moi aussi je suis fatigué de ce monde.
C'est pourquoi, où que je me trouve j'agis sans filtre, appuyant sur les meilleures choses; souvent les plus simples.
La décroissance ne doit pas seulement être économique. Il nous faut retrouver de vraies valeurs, celles que nous a fait oublier l'individualisme de la société capitaliste.
Moi aussi je suis fatigué de ce monde.
C'est pourquoi, où que je me trouve j'agis sans filtre, appuyant sur les meilleures choses; souvent les plus simples.
La décroissance ne doit pas seulement être économique. Il nous faut retrouver de vraies valeurs, celles que nous a fait oublier l'individualisme de la société capitaliste.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif