Il y a un chemin...
Dans le miroir, il y a un chemin sur le bord de mon visage
qui prend un virage avec une vie sage
Il y a un chemin aride où poussent des sourires
Comme des bouffées d'air frais à faire courir
Les filles - C'est une route où vivent des marronniers
Qui se bousculent pour trouver un trésor comme les pionniers
Infini voyage fixé sur le chapiteau percé c'est une trapéziste
Qui transforme cette route en rivière brillante si belle et triste
C'est un chemin que j'embrasse pour apaiser la colère
Ou enchérir une chérie d'un baiser doux comme celui d'un père
Frère ne t'inquiète pas tant, la vie sera difficile de toute façon
Obligé de foutre le dawa pour devenir quelqu'un de bien mon garçon
Sur ce visage paisible il y a cette cicatrice de feu d'avoir trop pleurer
Mais il ne faut pas le dire aux autres "les anges se cachent pour pleurer"
A ce qu'il parait - Je voudrais que tout ça soit loin dans la nuit des temps
Et t'sais je tiens plus de l'amour que de la haine que je tiens en respect
Vengeance ou revanche de la vie j'ai pris ma part et fais le taf pour réessayer
Jamais je n'ai renoncer à vous manquez plus quand j'aurais réussi bien
Mais il n'y aura plus de pardon de larme pour ce qui m'a été pris pour rien
Et c'est une route dure pour tout le monde parmi nous, mais c'est la vie
qui veut ça. Il y a un chemin sur le bord de mon visage qui exauce un merci.
Moonz
Il y a un chemin (texte de Moonz)
Re: Il y a un chemin (texte de Moonz)
Les chemins au bord des visages... je trouve que c'est beau même si les chemins sont durs
Re: Il y a un chemin (texte de Moonz)
Bien vu. Bonne image.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: Il y a un chemin (texte de Moonz)
Chemin faisant, j’ai vu le faisan
Plumage coloré, gibier abondant
Que des chasseurs tirent trop souvent
Dés que le lâcher, les mènent au vent
Chemin faisant, j’ai vu le faisant
Un homme au noir destin évidemment
Il commença par vendre du temps
Pour des gens trompés malheureusement
Chemin distant, aux pas oubliés
Lisière de foret ou j’ai posé les pieds
La nature respire en silence
Je suis le promeneur qui danse
Chemin distants, regards absents
L’homme prédateur guette au tournant
Sa proie qui ne se doute pas vraiment
Du danger qui l’entoure savamment
Chemins opposés, neutralité
Pas vu, pas pris, chemin faisant
Je ne suis pas sur de ma mémoire
Est-ce l’indifférence ou l’oubli
Chemins opposés, un signe, se retrouver
Tous embarqués dans cette société
Bateau nageant a contre courant
Ne pas rester indifférent
Plumage coloré, gibier abondant
Que des chasseurs tirent trop souvent
Dés que le lâcher, les mènent au vent
Chemin faisant, j’ai vu le faisant
Un homme au noir destin évidemment
Il commença par vendre du temps
Pour des gens trompés malheureusement
Chemin distant, aux pas oubliés
Lisière de foret ou j’ai posé les pieds
La nature respire en silence
Je suis le promeneur qui danse
Chemin distants, regards absents
L’homme prédateur guette au tournant
Sa proie qui ne se doute pas vraiment
Du danger qui l’entoure savamment
Chemins opposés, neutralité
Pas vu, pas pris, chemin faisant
Je ne suis pas sur de ma mémoire
Est-ce l’indifférence ou l’oubli
Chemins opposés, un signe, se retrouver
Tous embarqués dans cette société
Bateau nageant a contre courant
Ne pas rester indifférent
"les états dâmes sont des lapsus incertains"