Blaze
Re: Blaze
merci ITESS j'y passe du temps en ce moment
Re: Blaze
elle est là la vie vigilante à l'aube
et tendre au soleil couchant
Elle me répare et m'accorde la Paix
comme mon espoir soudain est grand
qu'est-ce qui se passe dans l'espace
je me demande mais c'est grassland
on fume on tise il nous taze alors on tue
une lame contre un flingue une larmes une serrignue
les gens ne supportent plus de souffrir pour vivre
c'est dingue je fume pas je calcine les heures lentes
Mon âme est triste mon art est autiste
je chante tel otis le blues riddim de la street
elle file entre mes rêves et ma raison
un chemin de chansons à foison
que le vent lunaire berce la nuit venue
alors elle se glisse contre moi nue
nous sommes des enfants perdus dans le grand pays
nos forces vives foncent ils on simplement failli
le vent mystique est en toute chose une idée
descendu du large par les routes de la lumière
Elle apporte une nouvelle heureuse et tranquille
cette vie de voyage dans la rumeur des grandes vagues
j'y plonge mon esprit pour partir en arrière
et sentir comme le vivre ce chant de l'univers
C'est la vie assise à mes côtés qui griffonne mes yeux
et soulève ma plume pour que je vois l'air de rien
que le soleil est bien levé et que mon cœur est calme
que l'avenir se réveille et que je lui répète ce slam
elle est là la vie vigilante à l'aube
et tendre au soleil couchant
elle me répare elle m'accorde la Paix
comme mon espoir soudain est grand.
et tendre au soleil couchant
Elle me répare et m'accorde la Paix
comme mon espoir soudain est grand
qu'est-ce qui se passe dans l'espace
je me demande mais c'est grassland
on fume on tise il nous taze alors on tue
une lame contre un flingue une larmes une serrignue
les gens ne supportent plus de souffrir pour vivre
c'est dingue je fume pas je calcine les heures lentes
Mon âme est triste mon art est autiste
je chante tel otis le blues riddim de la street
elle file entre mes rêves et ma raison
un chemin de chansons à foison
que le vent lunaire berce la nuit venue
alors elle se glisse contre moi nue
nous sommes des enfants perdus dans le grand pays
nos forces vives foncent ils on simplement failli
le vent mystique est en toute chose une idée
descendu du large par les routes de la lumière
Elle apporte une nouvelle heureuse et tranquille
cette vie de voyage dans la rumeur des grandes vagues
j'y plonge mon esprit pour partir en arrière
et sentir comme le vivre ce chant de l'univers
C'est la vie assise à mes côtés qui griffonne mes yeux
et soulève ma plume pour que je vois l'air de rien
que le soleil est bien levé et que mon cœur est calme
que l'avenir se réveille et que je lui répète ce slam
elle est là la vie vigilante à l'aube
et tendre au soleil couchant
elle me répare elle m'accorde la Paix
comme mon espoir soudain est grand.
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Re: Blaze
Écrire et mourir chaque jour, c'est peut-être le lot de celles et ceux qui écrivent avec leur sang ("écris avec du sang et tu apprendras que le sang est esprit" - Nietzsche ).
Re: Blaze
je connaissais cette maxime de Nietzsche. merci Eric
Re: Blaze
qu'est-ce que leur monde peut nous montré
que nous ne pourrions découvrir ?
toute cette haine rencarde le Seitan
enfin a ce que je vois de l'enfer partout
c'est pas la peine de se blesser pour eux
et de ne voir que par leur œillères
Qui habillent nos propres prisons
ouvre ton esprit il existe je le sais
comme tout ce qu'on peut imaginer
nous qui avons fait tant de grandes découvertes
Fruit d'une mémoire des âges et de l'idée
nous sommes ensemble pour le devenir
cet amour universel venu des entrailles de nos mères
Comme des rires de nos pairs et du silence des pierres
Ne me revient des discussions avec mes frères et sœurs
Que l'envie de faire un monde où nous pourrions vivre
Alors je marche le long des avenues de briques grise rouge
Je dévale les rues dans les moindre recoin je cherche
une expression de la lumière qui travaille à la Vie
comme un reporter de l'étrange je sais qu'il existe
Quelque part dans cet océan noir dans ce ciel désert
Comme une fleur qui fleurit à l'ombre des dunes
notre science est celle de l'âme que l'on éduque à percer
Le froid hiver de notre désespoir et il faut y croire
Notre force est esprit et nous sommes des gens durs
Qui veulent trouver cette éternité qui abrège toute les souffrances
Et je m'assoie dans un rectangle d'herbe et tout est orchestré
La valse lente des insectes le bal volant des oiseaux
La respiration profonde de la sève et le parfum des fleurs
La musique dans la tête qui revient comme les accords d'hotel California
Je me sens là accueillit par la beauté du monde et sa légèreté
La fête brille dans le lointain, et j'entends rire les gens
Nous avons vu tant de choses que je pourrais vivre aveugle avec mes souvenirs
Mais la Lumière du présent la chanson de la vie est pleine de mystère
Que je réapprends à ressentir comme ci en moi une porte s'était ouverte
sur des immensités terribles et suprême qui donne sens à l'Homme humble
que nous ne pourrions découvrir ?
toute cette haine rencarde le Seitan
enfin a ce que je vois de l'enfer partout
c'est pas la peine de se blesser pour eux
et de ne voir que par leur œillères
Qui habillent nos propres prisons
ouvre ton esprit il existe je le sais
comme tout ce qu'on peut imaginer
nous qui avons fait tant de grandes découvertes
Fruit d'une mémoire des âges et de l'idée
nous sommes ensemble pour le devenir
cet amour universel venu des entrailles de nos mères
Comme des rires de nos pairs et du silence des pierres
Ne me revient des discussions avec mes frères et sœurs
Que l'envie de faire un monde où nous pourrions vivre
Alors je marche le long des avenues de briques grise rouge
Je dévale les rues dans les moindre recoin je cherche
une expression de la lumière qui travaille à la Vie
comme un reporter de l'étrange je sais qu'il existe
Quelque part dans cet océan noir dans ce ciel désert
Comme une fleur qui fleurit à l'ombre des dunes
notre science est celle de l'âme que l'on éduque à percer
Le froid hiver de notre désespoir et il faut y croire
Notre force est esprit et nous sommes des gens durs
Qui veulent trouver cette éternité qui abrège toute les souffrances
Et je m'assoie dans un rectangle d'herbe et tout est orchestré
La valse lente des insectes le bal volant des oiseaux
La respiration profonde de la sève et le parfum des fleurs
La musique dans la tête qui revient comme les accords d'hotel California
Je me sens là accueillit par la beauté du monde et sa légèreté
La fête brille dans le lointain, et j'entends rire les gens
Nous avons vu tant de choses que je pourrais vivre aveugle avec mes souvenirs
Mais la Lumière du présent la chanson de la vie est pleine de mystère
Que je réapprends à ressentir comme ci en moi une porte s'était ouverte
sur des immensités terribles et suprême qui donne sens à l'Homme humble
Re: Blaze
l'heure de nos héros
Ainsi est venu l’heure de nos héros
Il faut endosser encore ce rôle
Dans un carnaval d’espérance
Et une procession de larmes
Exemplaires devant la Mort
Et en vérité qu’importe nos Vies
Devant le destin beaucoup plus grand
D’une nation de chants et de cris
Mais Y crois-tu vraiment ? VRAIMENT
Quand les balles fusent quand les corps tombent
Je ne connais pas d’homme assez fort pour ça
Ici s’arrête l’homme nous sommes des destins sacrifiés
Dans une rue qui a rendu fou et malade la plupart
Je ne suis pas venu cacher la vérité sous le pavé
Mais rendre à ma vie sont éclat sa pureté
Dans le temps imparti par la volonté de Dieu
Mais y crois-tu vraiment ? Vraiment
Nous devrons nous battre par l’art de l’amour
Et mettre en lumière l’immensité du ciel de la terre
C’est notre promesse première être les écoliers
De l’univers et prendre la mesure d’être un homme un frère
Ne jamais renoncer comme un mantra sacré
Toutes nos douleurs toutes nos joies sont des armes
Face à l’affreuse armée des seigneurs des Limbes
Et nous irons éclairant et éclaireur faire se lever la brume
J’avance d’un pas ferme et décider sous la mine de mon crayon
Et je n’ai que des rêves pour souffle dans cette avenir sombre
Mais y crois-tu vraiment ? vraiment
Se battre pour la fierté des nôtres c’est ma seule raison de vivre
Ils m’ont tout pris sinon ma force de faire face au vent mauvais
Alors je vais vigilent dans les ténèbres profondes faire ma furie
Danse éclairante d’un derviche transcendé par la Grâce
Et rien de leur funeste raison de taire en moi la musique
D’un tambour rugissant ou d’un battement d’aile à l’horizon
Rien ne peut me défaire de la colère de feu rougeoyant
Qui consume ma pensée quand je songe aux années de frustration
Accroupi dans la glaise de ma propre invention voici
L’heure de nos héros et j’irais en soldat prendre le futur qui nous est dû.
Car je ne fonde aucune croyance sur le passé seul compte le combat
Pour l’avenir maintenant.
Ainsi est venu l’heure de nos héros
Il faut endosser encore ce rôle
Dans un carnaval d’espérance
Et une procession de larmes
Exemplaires devant la Mort
Et en vérité qu’importe nos Vies
Devant le destin beaucoup plus grand
D’une nation de chants et de cris
Mais Y crois-tu vraiment ? VRAIMENT
Quand les balles fusent quand les corps tombent
Je ne connais pas d’homme assez fort pour ça
Ici s’arrête l’homme nous sommes des destins sacrifiés
Dans une rue qui a rendu fou et malade la plupart
Je ne suis pas venu cacher la vérité sous le pavé
Mais rendre à ma vie sont éclat sa pureté
Dans le temps imparti par la volonté de Dieu
Mais y crois-tu vraiment ? Vraiment
Nous devrons nous battre par l’art de l’amour
Et mettre en lumière l’immensité du ciel de la terre
C’est notre promesse première être les écoliers
De l’univers et prendre la mesure d’être un homme un frère
Ne jamais renoncer comme un mantra sacré
Toutes nos douleurs toutes nos joies sont des armes
Face à l’affreuse armée des seigneurs des Limbes
Et nous irons éclairant et éclaireur faire se lever la brume
J’avance d’un pas ferme et décider sous la mine de mon crayon
Et je n’ai que des rêves pour souffle dans cette avenir sombre
Mais y crois-tu vraiment ? vraiment
Se battre pour la fierté des nôtres c’est ma seule raison de vivre
Ils m’ont tout pris sinon ma force de faire face au vent mauvais
Alors je vais vigilent dans les ténèbres profondes faire ma furie
Danse éclairante d’un derviche transcendé par la Grâce
Et rien de leur funeste raison de taire en moi la musique
D’un tambour rugissant ou d’un battement d’aile à l’horizon
Rien ne peut me défaire de la colère de feu rougeoyant
Qui consume ma pensée quand je songe aux années de frustration
Accroupi dans la glaise de ma propre invention voici
L’heure de nos héros et j’irais en soldat prendre le futur qui nous est dû.
Car je ne fonde aucune croyance sur le passé seul compte le combat
Pour l’avenir maintenant.
Re: Blaze
ARME DE PAPIER
Je n’écris pas des poèmes je fais des textes slams
C’est bien je crache, ouais des flammes
Pour faire sourire les gosses et les femmes
A ce qu’on dit c’est interdit de doter les gens d’âme
Je ne suis pas un curé je suis un animal armé
Alors je me sers de mes serfs-volant comme une armée
Que je laisse voguer au vent dans une danse surannée
En vrai je suis sur-armé et je vais tous les carna les caner
Des armes de papiers pour seul défense j’attaque au bic
Cette p’tite musique matinale et je fais travailler l’alambic
Alchimiste des mots sur une licorne furieuse j’applique
Les techniques nouvelles d’une poésie mécanique
Je ne suis ni à voile ni à vapeur je suis électrique comme l’air
Qui se joue dans les strates de mes hémisphères
J’ai des lyrics chirurgicale et terrible pour ton cerveau temporaire
Ecoute la musique notre mesure c’est le grondement de la Terre
Là où naissent les arbres qui donnent le caoutchouc et le papier
Le caoutchouc pour mes pieds du papier pour mes K O par milliers
De l’encre qui dans sa chimie oublie le saule au vent l’esprit lié
A sa magie millénaire, je suis un artiste dans les cages sur tous les paliers
Qui fabrique son ère avec l’étoile bergère pour principe de vie
Gardien de mon frère je vais dans le monde avec un drôle d’appétit
Qui me fait me tenir debout dans la boue et assassine les petit Bully
Avec une arme de papier dans les poches comme l’épée en bois d’un petit.
Je n’écris pas des poèmes je fais des textes slams
C’est bien je crache, ouais des flammes
Pour faire sourire les gosses et les femmes
A ce qu’on dit c’est interdit de doter les gens d’âme
Je ne suis pas un curé je suis un animal armé
Alors je me sers de mes serfs-volant comme une armée
Que je laisse voguer au vent dans une danse surannée
En vrai je suis sur-armé et je vais tous les carna les caner
Des armes de papiers pour seul défense j’attaque au bic
Cette p’tite musique matinale et je fais travailler l’alambic
Alchimiste des mots sur une licorne furieuse j’applique
Les techniques nouvelles d’une poésie mécanique
Je ne suis ni à voile ni à vapeur je suis électrique comme l’air
Qui se joue dans les strates de mes hémisphères
J’ai des lyrics chirurgicale et terrible pour ton cerveau temporaire
Ecoute la musique notre mesure c’est le grondement de la Terre
Là où naissent les arbres qui donnent le caoutchouc et le papier
Le caoutchouc pour mes pieds du papier pour mes K O par milliers
De l’encre qui dans sa chimie oublie le saule au vent l’esprit lié
A sa magie millénaire, je suis un artiste dans les cages sur tous les paliers
Qui fabrique son ère avec l’étoile bergère pour principe de vie
Gardien de mon frère je vais dans le monde avec un drôle d’appétit
Qui me fait me tenir debout dans la boue et assassine les petit Bully
Avec une arme de papier dans les poches comme l’épée en bois d’un petit.
Re: Blaze
"Je ne suis pas un curé je suis un animal armé
Alors je me sers de mes serfs-volant comme une armée
Que je laisse voguer au vent dans une danse surannée"
Bon je cite juste ça, mais il n'y a pas que ça bien sûr ! J'aime bcp des assonances, toujours admirative de ta façon d'écrire
Alors je me sers de mes serfs-volant comme une armée
Que je laisse voguer au vent dans une danse surannée"
Bon je cite juste ça, mais il n'y a pas que ça bien sûr ! J'aime bcp des assonances, toujours admirative de ta façon d'écrire