Tu te souviens te demandant
Il faut des yeux qui nous ressemblent
Construire une poupée de cire
Dans une grande maison pleine
De voyages hantée d'histoire Secrète
Tu marche sur le parvis tu as vu
Cette maison délabrée dans d'autres vies
Comme nous y sommes bien
Le vent souffle nous sommes bien
La pluie perle nous sommes trois
Oiseaux dans la musique de la nuit
Ah nous la misère c'est la liberté
Comme nous y sommes bien
Tes sourires tes pas de souris
Je ne les oublierai jamais
A petit peu tout mon ciel devient un toit
Nous sommes bien voyez vous
Nous trois des ombres de suie dans le soir
Errant sur le vrouam vraoum de la police
Tout au long de l'Odet dans une venelle
Tu trouveras un petit château dans le ciel
Ou les anges écoutent naitre le miel
Je vais retrouver ma vie par ce chemin là
Mémoire de mille ans a faire les cent pas
Dans un théâtre de choses très sérieuses trop
Mais la gravité elle me pousse à avancer
Vers d'autres rivages combien de visage j'ai
Dans mon sac pour tout bagage je vais
Vivant voyages au grès des heures lasses
Comme nous y sommes bien
Le vent souffle ect...
Et les plume des oiseaux coiffent
Mon chapeau de paille
Et ma valise en carton
Fait plein de hit rythme and poetry
Comment le croire simplement
Parce que nous y sommes bien
Voyez ! Nos valises de vent nous nous envolons
Les valises
Re: Les valises
Je me souviens de ces temps insouciants.
Enfant, adolescent con mais pertinent.
Rien ne pouvait m'atteindre, pas même mes parents.
J'ai vieillit et tout est différent.
Enfant, adolescent con mais pertinent.
Rien ne pouvait m'atteindre, pas même mes parents.
J'ai vieillit et tout est différent.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: Les valises
"Tu trouveras un petit château dans le ciel
Ou les anges écoutent naitre le miel"
les semelles de vent, et retrouver sa vie dans ce chemin là... Je te le souhaite
Ou les anges écoutent naitre le miel"
les semelles de vent, et retrouver sa vie dans ce chemin là... Je te le souhaite
Re: Les valises
Elle pleure l'âme libre
A t'elle la mémoire des livres?
De Quoi tu te mêle oliv'?
It s m'y life en live mon road trip
Des questions qui nous gardent
De leur garden party de grades
Qui bradent l'homme et son labeur
De quoi tu te mêle oliv'? Ouais sale slameur
Parfois je me dis que le monde m'a oublié
Que ma vie est passée à côté de moi
Mais ne m'a pas reconnu comme la mère
Alors obligatoire je nique la terre entière
Nous sommes une poignée de géant
Dans une file indienne pour la chance
Je ne rime pas la misère qu'avec guerre
Alors obligatoire je nique la terre entière
Mais pas comme ceux qui niquent mes frères
C'est une erreur ou une injustice -toujours fier
Je ne me plains pas je ne me plaît pas non plus
Mais j'avance a mesure dans cette attente la rue
Moonz, enfant terrible je me lève fort
Je me couche ivre je me délivre du piège
Comme dans un torrent simple bouchon de liège
Je flotte comme il pleut sur ma ville
Le feu sa brûle l'eau sa mouille le coeur rouille
Je suis pas éligible au contrat de travail
Mais je suis capable de changer le monde
Dans une impasse j'ai trouvé une maison
Pour dormir comme quoi j'avais raison
Vos yeux ne disent que des mensonges des questions
Qui n'ont que la brutalité pour réponse
Mais je suis dans la stratosphère et je fonce
Ombre dans la lumière du soleil je brille
Jeune chapardeur brillant j'avais oublié
L'immense plaisir de vivre pour les pillier
Reprendre notre or faire l'effort de vivre
C'est dur .... Et il n'y aura rien de comparable dans vos livres.
A t'elle la mémoire des livres?
De Quoi tu te mêle oliv'?
It s m'y life en live mon road trip
Des questions qui nous gardent
De leur garden party de grades
Qui bradent l'homme et son labeur
De quoi tu te mêle oliv'? Ouais sale slameur
Parfois je me dis que le monde m'a oublié
Que ma vie est passée à côté de moi
Mais ne m'a pas reconnu comme la mère
Alors obligatoire je nique la terre entière
Nous sommes une poignée de géant
Dans une file indienne pour la chance
Je ne rime pas la misère qu'avec guerre
Alors obligatoire je nique la terre entière
Mais pas comme ceux qui niquent mes frères
C'est une erreur ou une injustice -toujours fier
Je ne me plains pas je ne me plaît pas non plus
Mais j'avance a mesure dans cette attente la rue
Moonz, enfant terrible je me lève fort
Je me couche ivre je me délivre du piège
Comme dans un torrent simple bouchon de liège
Je flotte comme il pleut sur ma ville
Le feu sa brûle l'eau sa mouille le coeur rouille
Je suis pas éligible au contrat de travail
Mais je suis capable de changer le monde
Dans une impasse j'ai trouvé une maison
Pour dormir comme quoi j'avais raison
Vos yeux ne disent que des mensonges des questions
Qui n'ont que la brutalité pour réponse
Mais je suis dans la stratosphère et je fonce
Ombre dans la lumière du soleil je brille
Jeune chapardeur brillant j'avais oublié
L'immense plaisir de vivre pour les pillier
Reprendre notre or faire l'effort de vivre
C'est dur .... Et il n'y aura rien de comparable dans vos livres.
Re: Les valises
j'arrive de vacances je pose mes valises et l'ami Moonz ne mens jamais il imagine il crée il stimule et il offre ses mots
bravo ami
bravo ami
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: Les valises
Merci de vos retours