L'bord du ciel
L'bord du ciel
BONJOUR je m'essaie un texte un peu plus emprunt de joie disons
De prime abord,
Parfois je m’endors et rêve tendrement d’insomnie,
On dirait un pays d’Afrique noire –
Noire et bondée comme cette nuit prolifique,
Le cœur à la chamade je songe à Miss Barbade,
De rimes belles comme pluie de grenade
À l’instar de Clara, des syllabes enchantées, Morgane de toi
Je dispense des conférences du Bonheur,
Idée neuve et audacieuse face à l’empire mondial des destructeurs
Qui design la haine fashion. J’y exposerai la part belle d’un blanc bec
Instruit par les Pléiades mêmes, une sorte de constat heureux
Où leur vérité deal souvent avec l’amour,
Où la réalité s’empresse de leur exploser la tête.
Deuxième strophe,
Il faut l’apprendre la joie comme fille d’un mélodrame américain
Embrasser comme jamais, mais comme jamais, cette voie je veux dire
Elle a les couleurs des espoirs fous qui nous concrétise
C’est comme dire un rire tu ne peux pas l’empêcher de te venir
Sans prévenir qui te rend jouasse et t’invite à le rendre publique
C’est dans le ventre qu’il pousse où séjourne Dieu selon moi
Puisque nous passons notre temps à satisfaire notre faim bestiale
D’amour, d’espérance, de magie poétique, de splendeurs infinies
Il entre en scène ce drôle de truc léger comme un clown à l’hélium
Et nous emporte avec le monde de Dylan qui tourne et change et vibre
Alors on se laisse prendre au jeu et on attend avec bonheur le happy End
Troisième mi-temps
On boit à cette félicité de la vie, avec modération on s’exalte et s’épanche
Sur une fleur douce en robe à motifs bleus qui se désape comme fumée
L’embrassant d’un baiser de feu dans cet entre-deux où le partenaire
N’est autre que notre alter-égo on se découvre et on se dit qu’on est bien
Par décision on prend au sérieux cette affaire de poils blanc de ride du sourire
Et on file notre vie de petits riens comme autan de perles dans le ciel étoilé
Parfois je m’endors et rêve tendrement, parfois je m’adore et m’éprend
De la valse nocturne sur la musique des promesses interminables à la Gloire
J’invente des histoires et je décris là une part du Bonheur notre allié
Quand aucune réponse automatique ne suffit à faire la culbute.
De prime abord,
Parfois je m’endors et rêve tendrement d’insomnie,
On dirait un pays d’Afrique noire –
Noire et bondée comme cette nuit prolifique,
Le cœur à la chamade je songe à Miss Barbade,
De rimes belles comme pluie de grenade
À l’instar de Clara, des syllabes enchantées, Morgane de toi
Je dispense des conférences du Bonheur,
Idée neuve et audacieuse face à l’empire mondial des destructeurs
Qui design la haine fashion. J’y exposerai la part belle d’un blanc bec
Instruit par les Pléiades mêmes, une sorte de constat heureux
Où leur vérité deal souvent avec l’amour,
Où la réalité s’empresse de leur exploser la tête.
Deuxième strophe,
Il faut l’apprendre la joie comme fille d’un mélodrame américain
Embrasser comme jamais, mais comme jamais, cette voie je veux dire
Elle a les couleurs des espoirs fous qui nous concrétise
C’est comme dire un rire tu ne peux pas l’empêcher de te venir
Sans prévenir qui te rend jouasse et t’invite à le rendre publique
C’est dans le ventre qu’il pousse où séjourne Dieu selon moi
Puisque nous passons notre temps à satisfaire notre faim bestiale
D’amour, d’espérance, de magie poétique, de splendeurs infinies
Il entre en scène ce drôle de truc léger comme un clown à l’hélium
Et nous emporte avec le monde de Dylan qui tourne et change et vibre
Alors on se laisse prendre au jeu et on attend avec bonheur le happy End
Troisième mi-temps
On boit à cette félicité de la vie, avec modération on s’exalte et s’épanche
Sur une fleur douce en robe à motifs bleus qui se désape comme fumée
L’embrassant d’un baiser de feu dans cet entre-deux où le partenaire
N’est autre que notre alter-égo on se découvre et on se dit qu’on est bien
Par décision on prend au sérieux cette affaire de poils blanc de ride du sourire
Et on file notre vie de petits riens comme autan de perles dans le ciel étoilé
Parfois je m’endors et rêve tendrement, parfois je m’adore et m’éprend
De la valse nocturne sur la musique des promesses interminables à la Gloire
J’invente des histoires et je décris là une part du Bonheur notre allié
Quand aucune réponse automatique ne suffit à faire la culbute.
[link]www.poezy.fr[/link]
Re: L'bord du ciel
"Parfois je m’endors et rêve tendrement d’insomnie"
Je sais que ça n'a rien à voir avec ton texte, mais je vais encore parler de moi, car moi, il m'arrive que je sache que je dors au cours de mes insomnies parce que je me rends compte que je suis en train de rêver.
Je sais que ça n'a rien à voir avec ton texte, mais je vais encore parler de moi, car moi, il m'arrive que je sache que je dors au cours de mes insomnies parce que je me rends compte que je suis en train de rêver.
Re: L'bord du ciel
Si mon écriture te fait parler de toi ou met au parfum les anges pour moi c'est cool. Bonne journée à vous deux
[link]www.poezy.fr[/link]
Re: L'bord du ciel
De super bonnes idées...Même si moi et les anges...
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: L'bord du ciel
Merci ITESS. Je voulais parler de choses simples et paisible pour nuancer avec la cruauté du monde...
[link]www.poezy.fr[/link]
Re: L'bord du ciel
LE JOUEUR DE LUNE extrait de mon blog : https://moonz.canalblog.com/2025/01/le- ... -lune.html
Et maintenant – j’souris comme pour m’apprêter au spectacle
Et maintenant – roulement de tambour, cymbale qui s’emballe
Tching ! – t’es sûr ? un temps, puis sur un ton de Monsieur Paradis
J’avale un verre de poison blanc et je défie la mort imaginaire
Quelle drôle d’entrée en matière – truc savamment orchestré – toujours
Bah ouais ! j’ai des élastiques pour la fronde à leurs appétits grotesques
Des cailloux dans la soupe, une brique de plus dans le mur des indignés
Ça fait sourire seulement les oiseaux dans une chorale de l’aube – déjà ?
Oh oui, la lumière se lève et la place vide du banc m’accompagne bien
Je bouquine des bouquets de fleurs sur le poêlon de mes nerfs tendus
Fait quand même pas super chaud – ça c’est pour la sensation du badaud
J’prends un malin plaisir à les emmener où je veux dans ce cirque
''On le sait'' sifflent les branches nues pleines de vent grisonnant
Des nuages en chaussures de ballerines pianotent une fine pluie de côté
Ça ne dure pas – après on redresse le menton et puis il y a le ciel
Et l’ange Gabriel s’exclame comme un Monsieur Soleil prêt aux réjouissances.
Oh muses voilà ma ration de son, de lumière, d’espoir et de tremblements
Ceux de l’incertitude d’être des exacts des trop certains même soyons clair
Clair comme ce matin vivifiant que je lorgne d’un œil plat et rond de sommeil
Je baille et je me lève là oui comme le jour – Monsieur oui ? Bonjour !
C’est un jour astucieux qui s’annonce sur le travers de mon monde – de biais
Où je vais ainsi vieux manteau de pluie et d’hiver dans mon anonymat
Couronné ma journée d’un beau chapeau en fin de compte pour la pièce
Et un chien errant me suis comme moi il joue sur la trompette de la Faim.

Et maintenant – j’souris comme pour m’apprêter au spectacle
Et maintenant – roulement de tambour, cymbale qui s’emballe
Tching ! – t’es sûr ? un temps, puis sur un ton de Monsieur Paradis
J’avale un verre de poison blanc et je défie la mort imaginaire
Quelle drôle d’entrée en matière – truc savamment orchestré – toujours
Bah ouais ! j’ai des élastiques pour la fronde à leurs appétits grotesques
Des cailloux dans la soupe, une brique de plus dans le mur des indignés
Ça fait sourire seulement les oiseaux dans une chorale de l’aube – déjà ?
Oh oui, la lumière se lève et la place vide du banc m’accompagne bien
Je bouquine des bouquets de fleurs sur le poêlon de mes nerfs tendus
Fait quand même pas super chaud – ça c’est pour la sensation du badaud
J’prends un malin plaisir à les emmener où je veux dans ce cirque
''On le sait'' sifflent les branches nues pleines de vent grisonnant
Des nuages en chaussures de ballerines pianotent une fine pluie de côté
Ça ne dure pas – après on redresse le menton et puis il y a le ciel
Et l’ange Gabriel s’exclame comme un Monsieur Soleil prêt aux réjouissances.
Oh muses voilà ma ration de son, de lumière, d’espoir et de tremblements
Ceux de l’incertitude d’être des exacts des trop certains même soyons clair
Clair comme ce matin vivifiant que je lorgne d’un œil plat et rond de sommeil
Je baille et je me lève là oui comme le jour – Monsieur oui ? Bonjour !
C’est un jour astucieux qui s’annonce sur le travers de mon monde – de biais
Où je vais ainsi vieux manteau de pluie et d’hiver dans mon anonymat
Couronné ma journée d’un beau chapeau en fin de compte pour la pièce
Et un chien errant me suis comme moi il joue sur la trompette de la Faim.

[link]www.poezy.fr[/link]
Re: L'bord du ciel
Un jour astucieux, j'aime bien le concept
Re: L'bord du ciel
Une nuit sans lune, une nuit de sang
le gel ralentissait les pas perdu
le murmure avait son air inquiétant
une chouette hulula convaincue
parfois la mort au parfum de rancune
laisse supposer un goût licencieux
dans la façon dont elle a cette écume
la rendant ubuesque sacredieu
il ne resta rien pas même un indice
ni la moindre miette de pain d’épice
au bois de vingt scènes enregistrées
l’histoire se répète comme toujours
quand le silence dort dans du velours
ainsi va la vie des âmes damnées
le gel ralentissait les pas perdu
le murmure avait son air inquiétant
une chouette hulula convaincue
parfois la mort au parfum de rancune
laisse supposer un goût licencieux
dans la façon dont elle a cette écume
la rendant ubuesque sacredieu
il ne resta rien pas même un indice
ni la moindre miette de pain d’épice
au bois de vingt scènes enregistrées
l’histoire se répète comme toujours
quand le silence dort dans du velours
ainsi va la vie des âmes damnées
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: L'bord du ciel
c'est un beau texte, merci nouga je le garde dans mes affaires si ça te dérange pas... lui rendant son goût d’éternité plus forte que la mort du roi des couard merci encore
[link]www.poezy.fr[/link]