la chanteuse de rose
la chanteuse de rose
Horriblement long d'avoir rien d'autre
il y a bien tout ce temps
Je le collecte je le brasse je le fonds
Je travaille à mon monde un truc certain
Je surfe sur une fine couche de glace
C'est leur définition de la société
Et tout le monde paye le bruit de l'eau
J'ai mal à ce monde qui me brûle
Le soleil n'est pas vert le soleil est rouge
Rouge feu et rouge sang un soleil de la mort
Comme un œil du démon comme une blessure
Je marche vers ce soleil pour l'inonder
"Je veux changer les larmes en rires"
Souffle le vieux noyau de la nuit prochaine
Une nuit où la lune rousse annonce
Le grand et terrible drame dans la société
"Non ne tirez pas sur les enfants" hurle le monde
"Vengez mon frère" ou "ranger vos couteaux"
Les heures les plus sombre de l'histoire
Viennent en botte rouge rouge feu rouge sang
et comme qui dirait le bruit silencieux des chaussons
Je l'imagine assourdissant de colère!
Mais rien n'est de cette manière et une vague chanson
De keny Arkana justifie mon âme brûlée
Le peuple y est ! disent les activistes
Bon sang je ne pensais pas dire à un idéal
Qui l'est activiste, nous sommes l'est l'Ouest
De nord en sud on se balance comme des pendus
Attaché à des chaines invisibles certes
Mais qui étouffent l'esprit et la raison
Dans le language du bâillon ironique invention
Alors gardien ministre je baille au corneilles
Et si mon âme est un problème a votre santé
C'est qu'elle est plus forte que l'épée
Et je n'aurais de cesse de guerroyer
Dans un monde en guerre finalement
Et je me lève ce soir alors que tombe la nuit
J'espère une lune pâle et luminescente
Qui dore de nacre les ténèbres futiles et folles
C'est une immense chose que le ciel des hommes
MoonZ
https://youtu.be/szkv43JtlHM?si=fsK1WhPZwlXv_5lE K.A.
il y a bien tout ce temps
Je le collecte je le brasse je le fonds
Je travaille à mon monde un truc certain
Je surfe sur une fine couche de glace
C'est leur définition de la société
Et tout le monde paye le bruit de l'eau
J'ai mal à ce monde qui me brûle
Le soleil n'est pas vert le soleil est rouge
Rouge feu et rouge sang un soleil de la mort
Comme un œil du démon comme une blessure
Je marche vers ce soleil pour l'inonder
"Je veux changer les larmes en rires"
Souffle le vieux noyau de la nuit prochaine
Une nuit où la lune rousse annonce
Le grand et terrible drame dans la société
"Non ne tirez pas sur les enfants" hurle le monde
"Vengez mon frère" ou "ranger vos couteaux"
Les heures les plus sombre de l'histoire
Viennent en botte rouge rouge feu rouge sang
et comme qui dirait le bruit silencieux des chaussons
Je l'imagine assourdissant de colère!
Mais rien n'est de cette manière et une vague chanson
De keny Arkana justifie mon âme brûlée
Le peuple y est ! disent les activistes
Bon sang je ne pensais pas dire à un idéal
Qui l'est activiste, nous sommes l'est l'Ouest
De nord en sud on se balance comme des pendus
Attaché à des chaines invisibles certes
Mais qui étouffent l'esprit et la raison
Dans le language du bâillon ironique invention
Alors gardien ministre je baille au corneilles
Et si mon âme est un problème a votre santé
C'est qu'elle est plus forte que l'épée
Et je n'aurais de cesse de guerroyer
Dans un monde en guerre finalement
Et je me lève ce soir alors que tombe la nuit
J'espère une lune pâle et luminescente
Qui dore de nacre les ténèbres futiles et folles
C'est une immense chose que le ciel des hommes
MoonZ
https://youtu.be/szkv43JtlHM?si=fsK1WhPZwlXv_5lE K.A.
Dernière modification par Moon2 le 31 août 2025 10:41, modifié 2 fois.
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Re: la chanteuse de rose
merci j'aimerai que Keny Arkana le pense 
Il faut pas se raconter d'histoire,
'crois pas -
je cohabite avec mes démons.
Assez populaire pour ne plus m'effrayer
En fait, ce sont des angoisses naturelles
Parfaitement éduquées et répétitives
Je m'ennuie d'être fou
Je voudrais plus mourir
Assez vite et sans bruit
une disparition naturelle
Rien a faire du monde
Il ne me concerne plus
C'est bien ce qu'ils veulent
Que l'on soit sans le monde
Qu'ils prennent leurs frics
ça ne me fait absolument rien
Je préférerai être à leur place
Evidement, mais je me demande
Quand tu regardes leurs popularités
Leurs atermoiement, leur fausse modestie
Je suis pour ainsi dire le meilleur
L'unique le un
Trevor est mort marty est dead
L'heure tombe de bien des façon
Je suis dans une autre dimension
off! tu sais on se perd individu
Indépendant et puis le reste du temps
Des ectarae et des plaies recousu
Point après point on serre le poing
Je lève une interrogation
Qui fait tourner le monde à cette vitesse
On me dira de façon honorable
Que le ventre de la terre en magma
Pèse son pesant de soleil le tout
Bercé par les ondes gravitationnelles
Des uns des autres, sous le sourire triste de la lune
Mais je ne vois que des solitudes autour de nous
Je suis une sorte de blague creuse
Un tabac blond de lumière sud-américaine
Quand vais-je partir
Merci pour le coup de manivelle

Il faut pas se raconter d'histoire,
'crois pas -
je cohabite avec mes démons.
Assez populaire pour ne plus m'effrayer
En fait, ce sont des angoisses naturelles
Parfaitement éduquées et répétitives
Je m'ennuie d'être fou
Je voudrais plus mourir
Assez vite et sans bruit
une disparition naturelle
Rien a faire du monde
Il ne me concerne plus
C'est bien ce qu'ils veulent
Que l'on soit sans le monde
Qu'ils prennent leurs frics
ça ne me fait absolument rien
Je préférerai être à leur place
Evidement, mais je me demande
Quand tu regardes leurs popularités
Leurs atermoiement, leur fausse modestie
Je suis pour ainsi dire le meilleur
L'unique le un
Trevor est mort marty est dead
L'heure tombe de bien des façon
Je suis dans une autre dimension
off! tu sais on se perd individu
Indépendant et puis le reste du temps
Des ectarae et des plaies recousu
Point après point on serre le poing
Je lève une interrogation
Qui fait tourner le monde à cette vitesse
On me dira de façon honorable
Que le ventre de la terre en magma
Pèse son pesant de soleil le tout
Bercé par les ondes gravitationnelles
Des uns des autres, sous le sourire triste de la lune
Mais je ne vois que des solitudes autour de nous
Je suis une sorte de blague creuse
Un tabac blond de lumière sud-américaine
Quand vais-je partir
Merci pour le coup de manivelle
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Re: la chanteuse de rose
Je confirme ce que dit le frérot.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: la chanteuse de rose
LA ROSE DE LA CHANTEUSE
Épine dans le pied
pied a l'étrier
hier encore, elle avait l'odeur suave
avec cette beauté éphémère
mer d'Iroise au loin nous rappelle
elle et son histoire de vagues scélérates
ne rate jamais le coche
la poésie est une danseuse aux seins lourds
aux sens livresques
elle chavire la vie par touches successives
se nourrissant de nos démons
salut ami, continu, nu comme au premier jour
Épine dans le pied
pied a l'étrier
hier encore, elle avait l'odeur suave
avec cette beauté éphémère
mer d'Iroise au loin nous rappelle
elle et son histoire de vagues scélérates
ne rate jamais le coche
la poésie est une danseuse aux seins lourds
aux sens livresques
elle chavire la vie par touches successives
se nourrissant de nos démons
salut ami, continu, nu comme au premier jour
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: la chanteuse de rose
bah oui mon bon vieux
on fait au mieux
avec les cieux
tranquille au pieu
et puis on regarde dieu
qui est pris au piège chez eux
sinon leur amour neuneu
les sauvent et c'est déjà le début
mais quand est-ce que dira merde ! la rue
on fait au mieux
avec les cieux
tranquille au pieu
et puis on regarde dieu
qui est pris au piège chez eux
sinon leur amour neuneu
les sauvent et c'est déjà le début
mais quand est-ce que dira merde ! la rue
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Re: la chanteuse de rose
la rue charrie les incertitudes de la vie.
elle sait aussi se montrée racoleuse
se nourrir des envies les plus folles
et puis doucement se vider des gens
la rue ne manque pas de moyens
elle propose, dispose, se repose
avec, dans ses rêves, l'illusion
quelle est reine des abeilles.
la rue entretient l'espoir d'être
le roi du bitume plein de tunes
attiré par ses néons chronophages
et la soif inaltérable en sus
la rue quémande des miettes
de la santé d'humains hétéroclites
amalgame d'un patchwork
ou la vie s'épuise sans issues
elle sait aussi se montrée racoleuse
se nourrir des envies les plus folles
et puis doucement se vider des gens
la rue ne manque pas de moyens
elle propose, dispose, se repose
avec, dans ses rêves, l'illusion
quelle est reine des abeilles.
la rue entretient l'espoir d'être
le roi du bitume plein de tunes
attiré par ses néons chronophages
et la soif inaltérable en sus
la rue quémande des miettes
de la santé d'humains hétéroclites
amalgame d'un patchwork
ou la vie s'épuise sans issues
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: la chanteuse de rose
La rue roule des mécaniques c'est la police qui passent
On se met en terrasse pour regarder les gens qui s'y entassent
C'est l"été on se montre sur notre meilleur jour
Zut ils pleut depuis les hauteurs de la ville on dirait un serpent
La rue c'est mon chez moi, ses murs ses portes sans toit
Je tiens la ville avec un laisse-tomber pas de laisser passer
Juste le respect de l'autre ou aimer avoir des ennuis
Pire voir des ennemis qui se souviennent de ton enième beuverie
La rue retourne en 1948 en choeur FREE PALESTINE
on considère le moins le peu et bien sur la plus jolie
Le reste de la journée on se décrasse en matant les teen
Si belles qu'on se crois dans un magasin de parfum frais
La rue, la nuit aboie, crie, croisant des sales gueules saoulent
Bah on en prend un autre dans une cage d'escalier ouverte
On s'endort on veille et on slam a gorge déployer pendant
Que les employés du quotidien dorment dans leurs piaules
La rue est une rubarbe pour la jeunesse qui voit le truc à faire
La rue est plus riche que le pauvre qui court avec son butin
La rue est plus sensuelle quand elle est ensoleillée c'est la saison
Puis la rue c'est des automates à noël dans les vitrines célèbres
La rue très tard voir très tôt c'est l"errance d'un poète en france
Qui se demande quand même ce qui se passe dans la fenêtre dans face
La rue jouit comme une femme amoureuse quand le ciel se pâme
Et puis parfois une jolie brune te fait tourner le coeur et la rue devient mélodrame
La rue j'en parlerai des heures, j'y ai grandi sans garde fou sans garde boue
j'ai les bottes de nancy sinatra et le swing d'un tonton maintenant
Vieux porte-flingue sans balle dans la chambre, cent balles pour une chambre
Je montre mon membre à la putain excellente le temps que l'heure passe
La rue est pleine de passe-passe de gens sur place qui font leurs manches
Et gagne à tout les coups ou perdent tout au jeu de la vie
C'est une course au meilleur vetement de l'époque et puis les hippie trop hype
c'est des rues de traverse des passages secret ou tu tombe sur des visages connus
La rue est l'inconnue que tu rêve d'harranguer hé ma jolie on va au ciné
La rue ce spectacle sans limite la ville si grande quand tu la fais à patte
La rue roumaine, africaine, la rue scandinave, le zouc arabe, la galerie morte
La rue des gentilhommes et puis la Ruelle Obscures des révoltées
ici les rues cosmopolites et les rues pour l'élite laquelle je la connais comme ma poche
La rue de la fauch' des types qui s'embrochent des filles qui s'échappent du donjon
La rue où passe tout les jours le même vieux dragon devant son verre de rouge pas bon
Et puis la rue perpendiculaire à la place où tu sais là où y a l'épicier
La rue on s'y retrouve tous pour regarder comme des vaches aux arrêts bus
Les voitures de la rue principale faire des va et vient, la rue est piétonne!
La rue de v'lo la rue des loires qui roupillent en travers de la gorge
La rue où ça bosse à 6 heures du mat' après un petit café cognac
La rue je t'en parle pas, y a trop de gens qui mattent tous des concierges
Qui font faire passer le mot qu'un tel est homo et l'autre facho
Puis tu t'assoies une heure devant le parc des enfants et tu ris
Et tu cherches un truc à faire le Lundi mais les gens attendent dimanche
La rue est une foule de gens qui se foulent pour faire entendre leurs voix
La rue c'est des bios des kilos en trop des boulot à la petite semaine
La rue vit va les vauriens y veillent on est ouvrier tous comme des abeille
Et si ils ne veulent pas comprendre un jour un type plein de plume et de goudron
Fatigué de voir pleurer à la fenêtre de sa vie, charge une carabine de plomb
Et tire sur tout le monde. La rue alors devient une longue prière pour les victimes
Dans la rue j'ai tout vu, tout entendu, tout vécu sauf un truc qui pose problème
Mais toi même tu sais qu'on ne dit je t'aime qu'avec quelque gramme en trop.
La rue est la même partout pour celui qui vit derrière un ordinateur dans un box
Ici on boxe avec les mots, on danse avec le diable sous la lune
La rue d'aussi loin que je me souvienne j'y traine ma misère ma liberté
Et je rêve de la Paix dans le monde comme au monopoly, "hé je vous emmerde"
ça c'est la rue qui gueule sa grande détresse et qui parle à son oreille
C'est les chats, les chiens, les gens qui brillent et les gens playmobils
C'est moi, c'est toi, c'est nous, c'est toujours les autres monsieurs l'argent
Qui rend fou les gens alors y a les secours sur qui on compte évidement
Signé l’ornithorynque
On se met en terrasse pour regarder les gens qui s'y entassent
C'est l"été on se montre sur notre meilleur jour
Zut ils pleut depuis les hauteurs de la ville on dirait un serpent
La rue c'est mon chez moi, ses murs ses portes sans toit
Je tiens la ville avec un laisse-tomber pas de laisser passer
Juste le respect de l'autre ou aimer avoir des ennuis
Pire voir des ennemis qui se souviennent de ton enième beuverie
La rue retourne en 1948 en choeur FREE PALESTINE
on considère le moins le peu et bien sur la plus jolie
Le reste de la journée on se décrasse en matant les teen
Si belles qu'on se crois dans un magasin de parfum frais
La rue, la nuit aboie, crie, croisant des sales gueules saoulent
Bah on en prend un autre dans une cage d'escalier ouverte
On s'endort on veille et on slam a gorge déployer pendant
Que les employés du quotidien dorment dans leurs piaules
La rue est une rubarbe pour la jeunesse qui voit le truc à faire
La rue est plus riche que le pauvre qui court avec son butin
La rue est plus sensuelle quand elle est ensoleillée c'est la saison
Puis la rue c'est des automates à noël dans les vitrines célèbres
La rue très tard voir très tôt c'est l"errance d'un poète en france
Qui se demande quand même ce qui se passe dans la fenêtre dans face
La rue jouit comme une femme amoureuse quand le ciel se pâme
Et puis parfois une jolie brune te fait tourner le coeur et la rue devient mélodrame
La rue j'en parlerai des heures, j'y ai grandi sans garde fou sans garde boue
j'ai les bottes de nancy sinatra et le swing d'un tonton maintenant
Vieux porte-flingue sans balle dans la chambre, cent balles pour une chambre
Je montre mon membre à la putain excellente le temps que l'heure passe
La rue est pleine de passe-passe de gens sur place qui font leurs manches
Et gagne à tout les coups ou perdent tout au jeu de la vie
C'est une course au meilleur vetement de l'époque et puis les hippie trop hype
c'est des rues de traverse des passages secret ou tu tombe sur des visages connus
La rue est l'inconnue que tu rêve d'harranguer hé ma jolie on va au ciné
La rue ce spectacle sans limite la ville si grande quand tu la fais à patte
La rue roumaine, africaine, la rue scandinave, le zouc arabe, la galerie morte
La rue des gentilhommes et puis la Ruelle Obscures des révoltées
ici les rues cosmopolites et les rues pour l'élite laquelle je la connais comme ma poche
La rue de la fauch' des types qui s'embrochent des filles qui s'échappent du donjon
La rue où passe tout les jours le même vieux dragon devant son verre de rouge pas bon
Et puis la rue perpendiculaire à la place où tu sais là où y a l'épicier
La rue on s'y retrouve tous pour regarder comme des vaches aux arrêts bus
Les voitures de la rue principale faire des va et vient, la rue est piétonne!
La rue de v'lo la rue des loires qui roupillent en travers de la gorge
La rue où ça bosse à 6 heures du mat' après un petit café cognac
La rue je t'en parle pas, y a trop de gens qui mattent tous des concierges
Qui font faire passer le mot qu'un tel est homo et l'autre facho
Puis tu t'assoies une heure devant le parc des enfants et tu ris
Et tu cherches un truc à faire le Lundi mais les gens attendent dimanche
La rue est une foule de gens qui se foulent pour faire entendre leurs voix
La rue c'est des bios des kilos en trop des boulot à la petite semaine
La rue vit va les vauriens y veillent on est ouvrier tous comme des abeille
Et si ils ne veulent pas comprendre un jour un type plein de plume et de goudron
Fatigué de voir pleurer à la fenêtre de sa vie, charge une carabine de plomb
Et tire sur tout le monde. La rue alors devient une longue prière pour les victimes
Dans la rue j'ai tout vu, tout entendu, tout vécu sauf un truc qui pose problème
Mais toi même tu sais qu'on ne dit je t'aime qu'avec quelque gramme en trop.
La rue est la même partout pour celui qui vit derrière un ordinateur dans un box
Ici on boxe avec les mots, on danse avec le diable sous la lune
La rue d'aussi loin que je me souvienne j'y traine ma misère ma liberté
Et je rêve de la Paix dans le monde comme au monopoly, "hé je vous emmerde"
ça c'est la rue qui gueule sa grande détresse et qui parle à son oreille
C'est les chats, les chiens, les gens qui brillent et les gens playmobils
C'est moi, c'est toi, c'est nous, c'est toujours les autres monsieurs l'argent
Qui rend fou les gens alors y a les secours sur qui on compte évidement
Signé l’ornithorynque
[link]www.poezy.fr[/link]
Re: la chanteuse de rose
ta rue foisonne.. je suis sûre que ça va inspirer nouga pour te répondre