je vide mon art creux cassé liquide fendu de haut en bas
Carence en âme et en tout et pour tout que dalle
Sinon ce rire de fracture entre nous je m'en moque
Il n'ont que fléau pour fin et je martèle mon martyr
Sorte de petit martinet qui m'injecte dans le dos
Un poison d'horreur qui hurle en moi et comme ça
Shalachava est belle mais elle meurt d'aimer pour quoi?
Assise dans son soupir elle flotte dans ma tête
Shalachava la déesse au sein prude qui soulève
Un peu mon sourire en coin et me dit bien sur mon canard
Coin-coin ! et ce terrible cet affreux monstre d’hématome
Soudain s'empourpre d'un brasier de tendresse
Parce que je crois que je l'aime encore moi vieux bougeoir
Qui répand - Répandre et reprendre et refaire à l'infini bonsoir
Shalachava et mon coeur gris gros et trahi par des larmes
Ne songe plus vraiment. Point d'autres contrepartie à la vie
Que de pondre ces morsures monotones pleines de sang amer.
Ils sont fous les gens et je répare mon malheur à mesure
La mesure ! l'étonnant appel à la tempérance
Seulement en ont-ils eu eux ! poil de carotte et cheveu d’ange
Non vraiment je n'ai plus goût à vivre parmi vous Shalachava!
Que le feu voyez vous se répande encore sur la Terre et au Ciel
Parce que c'est tout ce que mérite l'être humain qui prétend au Cieux.
invitation au chaos
invitation au chaos
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Re: invitation au chaos
A la patrie de la chance drôle de france soyons franc
la chanson est dance hall shapta sur le banc
les errances de la vision transperce la télévision
délais dépasser avant d'avoir donner le top
je m'en bats les couilles de la pop du hip hop
Je les douilles dans le silence comme avec ta salope
Des trouffions déguisés en robin et batman
parfois ça me fait sourire d'être assez dingue
pour boire de l'eau et de la bière entre deux grands airs
c'est la chance de prendre les sentiers à la con
brave garçon et pauvre homme je marche parmi les miens
Du nouveau monde au coeur du monde devant le cendars
Je me dissipe dans le sourire à nos mémoires de l'amour
Et l'amour est le seul qui soutient le trésor de mon chef d'oeuvre
En est la preuve je me régale de remonté la pente
Baignant mon nom à la con dans un moonwalk étranger, partout
Je passe d'un rendez vous à vous rendez vous compte
Ce que je compte dans mes nuits nous font danser avec la lune
Et mon lou lou on fume dans la transcendence
Alors ouais a la santé du pays de la France.
la chanson est dance hall shapta sur le banc
les errances de la vision transperce la télévision
délais dépasser avant d'avoir donner le top
je m'en bats les couilles de la pop du hip hop
Je les douilles dans le silence comme avec ta salope
Des trouffions déguisés en robin et batman
parfois ça me fait sourire d'être assez dingue
pour boire de l'eau et de la bière entre deux grands airs
c'est la chance de prendre les sentiers à la con
brave garçon et pauvre homme je marche parmi les miens
Du nouveau monde au coeur du monde devant le cendars
Je me dissipe dans le sourire à nos mémoires de l'amour
Et l'amour est le seul qui soutient le trésor de mon chef d'oeuvre
En est la preuve je me régale de remonté la pente
Baignant mon nom à la con dans un moonwalk étranger, partout
Je passe d'un rendez vous à vous rendez vous compte
Ce que je compte dans mes nuits nous font danser avec la lune
Et mon lou lou on fume dans la transcendence
Alors ouais a la santé du pays de la France.
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Re: invitation au chaos
Des soirs de presqu’île dans mon antre
Je vais de mémoire en mémoire libre, pur
Devenant le vertige de l'enfant que j'étais
Me voilà pourvu de barbe et d'un groin
Qui me flatte d'être du genre humain
Mais la bête je la sens qui racle au fond
Les monstres d'antan sont désormais mes compagnons
J'ai fini d'avoir peur de rien
Mais le monde, le monde lui est terrible de sang
Je regarde ce théâtre morne de la vie qui passe
Le diable est innocent, le mal est en nous-mêmes
J'ai peur, oui, de cela. Pourtant je vais
Plutôt bien, constitué de tout l’attirail
Mais mon cher, l'âme est un vide en moi
La bête s'y loge parfois, que veux-tu l'ivresse
Sinon je m'enlivre de paresse amoureuse des autres
L'amour je l'ai trop aimé maintenant pour m'anéantir
Dans le regard violent des êtres humain, parait-il.
Je vais de mémoire en mémoire libre, pur
Devenant le vertige de l'enfant que j'étais
Me voilà pourvu de barbe et d'un groin
Qui me flatte d'être du genre humain
Mais la bête je la sens qui racle au fond
Les monstres d'antan sont désormais mes compagnons
J'ai fini d'avoir peur de rien
Mais le monde, le monde lui est terrible de sang
Je regarde ce théâtre morne de la vie qui passe
Le diable est innocent, le mal est en nous-mêmes
J'ai peur, oui, de cela. Pourtant je vais
Plutôt bien, constitué de tout l’attirail
Mais mon cher, l'âme est un vide en moi
La bête s'y loge parfois, que veux-tu l'ivresse
Sinon je m'enlivre de paresse amoureuse des autres
L'amour je l'ai trop aimé maintenant pour m'anéantir
Dans le regard violent des êtres humain, parait-il.
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Re: invitation au chaos
" je m'enlivre"
Formidable formule !
Formidable formule !
Re: invitation au chaos
elle n'est pas de moi mais d'un jeune poète qui c'est fait remarqué au printemps des poètes avec "s'enlivrer".
merci de votre passage bonne semaine à vous deux
merci de votre passage bonne semaine à vous deux
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