la véritas toute nue

[ITESS]

C'est du bon son, ça.

[Moon2]

on fait mieux https://soundcloud.com/olivier-gatin-1/ ... al_sharing



alerte verte
ITESS MOONZ

Nous sommes des milliards et des milliards d'êtres vivants.
Animal ou végétal, création du Tout Puissant.
On nous a tous donné une âme en arrivant.
Ensemble, ces âmes obéissent à un fonctionnement.
Une conscience invisible émerge; celle de Gaïa.
Une symbiose née de l’Alpha et de l’Oméga.
Fatiguée, la Terre fait bouillir son magma,
Nous dit de partir en bouleversant le climat.

Syllabes enchantées jouer vos notes et accords qui emplissent l’air
Attrapée la lumière calme d’un jour nouveau sous l’astre solaire
Nos promesses sont des feuilles mortes qui dansent au vent
Et les heures emmitouflées dans l’automne nous allons en tanguant
Cherchant entre certitude et besoin, nous trouvant insignifiants
Mais ce n’est qu’une vision parce que nous sommes vivants
Et il n’y a pas de quantité ou de qualitatif, pas de khalife ou de critères
Nous sommes ce que nous emmenons vers les rêves pour la Terre

Nous sommes des enfants capricieux, hypocrites.
Et notre mère nous voit comme des parasites.
Nous la bouffe de l’intérieur de façon illicite.
Qu’elle nous détruise. C’est peut-être tout ce qu’on mérite.
Trop d’espèce, trop de race ont déjà disparu.
Trop de végétation a été abattue.
Arrêtons de scier la branche. Nous sommes dessus.
Vous pensez avoir tout vu mais ce n’est qu’un début.

GAÏA, est mère de nos voyages dans l’univers, elle n’est pas que pétrole et fer
On force le monde à croire que nous sommes sur une usine
Mais c’est pour nous vendre l’idée que nous sommes des bêtes dans la bruine
La brume humidifie ma peau et le soleil là-bas nourrit toutes les fleurs
Toutes les édifices qu’ils prétendent naturelle ou même extraordinaire
Ne se compare même pas à la couleur de l’hiver et les nuances de la nuit.
GAÏA est la ligne de main qui accompagne l’amour et la fin sans un bruit

Les empires d’hier sont les ruines d’aujourd’hui.
Avec le temps, nous devrions être aguerris.
Au lieu de ça, nous poursuivons dans notre connerie.
Nous comprendrons trop tard, une fois anéantis.
C’est ce qu’il s’est passé avec les Néphilims.
Du Grand Déluge, ils en sont les grandes victimes.
Rester neutre, observer sans agir est un crime.
Gaïa passe avant nous. C’est plus que légitime.

C’est juste là, et partout d’ici, je contemple l’aube s’élancée sur la route
Et là où je doute, la chaleur douce du soleil apaise les pensées.
C’est un Monde lointain que ces poèmes que j’aime des vieux poètes
Qui se demande à quoi ressemble la romance avec une plume et de l’encre
Alors Gaïa s’agrippe à moi et m’incline le cœur devant des pierres
Parce que nous sommes fait pour transcrire le monde à la lumière
D’une journée belle entre certitude et besoin, nous trouvant insignifiants
Les choses m’apaisent parfois, et je m’assoie devant l’étrange monde du vivant

Dring, dring, sonne l'alerte.
C'est pas l'alerte rouge. C'est l'alerte verte.
Dring, dring, sonne l'alerte.
Tous ensemble, sauvons la planète.

L’heure est grave. Personne ne viendra pour nous aider.
Ce coup-ci, il n’y aura pas d’Arche de Noé.
Donc plus de demi-mesure. Il faut se bouger.
Faisons-le pour nos enfants, pour nos héritiers.
Nous devons assumer et réparer nos erreurs.
Nous sommes nos agresseurs. Soyons aussi nos sauveurs.
Pensons ensemble comment panser toutes les douleurs.
Chaque bonne action peut redonner un peu de couleur.

[Moon2]

et quoi ?


je sais que ça sera comme ça toujours putain y a pas à redire
d'ailleurs reste muet tu voulais aujourd'hui ne dire que beauté et clarté
ferme la avant que ça recommence j'ai cette envie de tout envoyer chier
le cerveau qui fume d'un type différent des autres et c'est quoi

Comment te le dire te faire voir ce qui est important pour moi
Chez toi tu ne vois qu'en moi un ennemi sur qui tombe le jeu du sort
Des morts dans ma mémoire et des jours vides où il faut se lever
Dans cette réalité je dois trouver une coursive vers mon rêve

Parce que rêver est ma seule soupape dans ce calvaire de vivre
Je ne veux pas mourir con et vivre longtemps a qui je manquerai
A toi qui remet en question tout ce que je vois dans ce crime lyrical
Ma poésie est impotente ouais mais elle est aussi réelle qu'une arme

Si je dis que je veux mourir les gens pensent que c'est pas grave
Mais si je dis que l'état nous ment pour laisser mourir les gosses
On me dira que je déconne parce qu'ils ne peuvent pas l'imaginer
Pourtant on débat à la télé si un gardien de la paix a le droit de tuer

Je n'obtempèrerai jamais avec un système qui me blesse et m'enferme
Parce que je suis à la rue et que je vis dans l'espoir que l'art règne
Biensur je me drogue mais les cargaison sont comptabilisé au PIB
Je ne vous aime pas je l'avoue parce que vous ne m'aimez pas non plus

Leur putain de richesse vous a compromis et je peux le dire
Regarde tu marques des points quand tu abimes ton meilleur allié
Dans cette anarchie parce que pour moi l'anarchie est le pouvoir actuel
Tu me reproche de jouer avec des jouets trop gros pour moi

N'a tu jamais vraiment voulu comprendre ce que j'avais à dire
Moi j'ai fait de la vie une arme contre le pouvoir qui impose
Car le vrai pouvoir est dans la main qui donne la force de vivre
Ils ne veulent que me faire taire et je ne me tairai pas pour faire bien

Qu'ils s'en aillent qu'ils m'accuse d'être le responsable de la tristesse de nicole
Pourquoi je me ferais un silence de plus le forum ne se taiera jamais
Et si je suis le seul a régner je lève haut ma force qu'on m'a donné
Parce que j'ai levé le doigt devant GCM pour dire non jamais je ne renoncerai

Pour ceux qui croive en cette poésie de rue et si je mens demande à CLine
A Sylvie demande leur si je mens. la poésie c'est tout ce que j'ai
Et mon âme est morte depuis longtemps dans la fosse de la frustration
Alors je continue pour que certain se lèvent et disent peut-être c'est possible

Mais ça je le dis pour ceux que j'aime, la vérité de ma pensée
Vous n'avez pas le courage de faire face à un système qui veut faire croire
Que c'est important quand ça rapporte de l'argent Arf! je m'en bat les couilles
La poésie de tout temps n'a jamais eut besoin d'être reconnu pour vivre.

et ces gens fatigués diront que je me bat contre des moulins
Regarde mon Google mec olivier gatin je suis tout par et je vous emmerde
Tellement sur que je peux changer le monde que ça donne des idées aux autres
Et si je veux rever que c'est vrai qui veut m'en empêcher devra me défier.

MAis personne ne l'a trouvé ma vérité depuis tant d'année personne pour le faire
Et si je le disais non je la protège parce que je sais faire que ça en vérité
Et jamais vous n'aurez les clés dans ce théatre parce que ma vie vous ne savez pas
Ce que c'est de mourir de manque d'aimer et de vivre et de dormir dehors par amour.

Et si j'ai levé ma main encore sur tout ces menteurs c'est tout ce qu'il méritait
D'avoir insulté mon amour de pute roumaine et on cru que ma haine était facile
Je suis un fils de la France un gosse des rues parce que j'ai choisi de vivre loin
De tout ces enculés qui veulent un monde qui les protège de type comme moi

Alors ma poésie vous éclate a la figure et si tu n'aimes pas tu ne lis pas
Et je pense que c'est tellement vrai qu'aucun ne lis ce que j'écris tellement j'écris
Mais les étoiles elles lisent et ceux que j'aime lisent et ceux qui le savent
Pourrons comprendre que je suis la pire chose qui puisse arriver à l'avenir de la nation

Si j'écris c'est pour tellement le faire parce que tu ignores le travail accompli
Chaque jours apprendre lire écrire se lever pour travailler malgré la peur au ventre
Je suis l'homme le plus fort de ce forum et je le porte tellement fièrement
Que j'attends le premier qui voudrais l'éteindre et biensur qu'ils me craigne

Comme mon amour l'a si bien dit " ils ont raison d'avoir peur" demande à l'autre.

[Moon2]

elle danse -

Elle danse - joie retrouvée devant la nuit profonde
debout si tard je me laisse porter par la valse du monde
Dans l'obscurité - nous rions de nos manques de sommeil
on se moque des brindilles qui se glissent entre nos orteils

La musique danse aussi sur mon portable en boucle
je me souviens de cette époque près d'un poste coute que coute
pour lire le message secret derrière les murs invisibles de l'esprit
je cherche encore cette plume originelle que l'on m'a pris

Elle danse - poésie retrouvée en travers de la feuille
je pose délicatement le stylo-bille et je recueille
Une mémoire de 30 ans et chante l'homme séparé
qui s'unit dans une poignée de main entre deux cœurs éveillés

Ah mon bon vieux on a tout découpé dans ce grand siècle
où les gens se perdent avalés par la gueule des cycles
Il me faut reprendre ma place dans ce théâtre banal
Et écrire ce soir toutes les étoiles qui se penchent sur notre mal

Serons nous un jour assez clair avec nous même pour s'endormir
Comme les autres dans la nuit où l'on veille pour ne pas mourir
dans l'oubli des heures passées dans une joie étincelante
Elle danse - la vie dans les branches de la magie latente.

[nouga]

cool bravo a vous

[nicole]

Bravo pour le duo !
et elle danse, j'adore

[Moon2]

C'est un texte en duo qui date de l'ancien forum avec moonz et ITESS. MERCI de prendre le temps de nous lire

[nicole]

Ah,je ne m'en souvenais plus

[Eric Delage]

Ecouté sur Soundcloud. Bon duo, ça le fait . Bravo !

[ITESS]

C'est sûr qu'aujourd'hui, on fait nettement mieux, tant sur l'écriture que sur le son.
On a appris en autodidacte avec rien. Et c'est cool.