mon anarchie n'a pas de voix (texte de Moonz)
Publié : 24 juin 2024 10:32
Mon Anarchie n'a pas de voix.
Les routes que je traverse ? comme celle de la vie ?
Parfois je me regarde dedans comme son miroir
Elle se demande surement ce que je peux y faire de bien
Sinon un sourire dans un naufrage devenu une ligne de conduite
Funeste précipices ou prophétie sombre augure du siècle
La mort est partout la peur règne par le velours - un piège
Comme votre majesté est plainte elle est aimée par dépit
Ils ont nié leurs appétits de l'époque pour de la politique
Brave gaillard de france tous courbé devant l'évidence
Que le cycle se répète ininterrompu les vieilles dames
Les gentils hommes ne veulent pas que le monde change
Comment faire pour leur dire que nous avons le droit au monde
Un monde qui ne l'ai plus diront-ils les yeux sur leur ère
Perdre tellement de temps devant les autorités de la souffrance
Pour dire combien la douleur est pesante sur nos corps blessés
Vaincu par une abération de la justice ou la raison sociale est bafouée
Je ne regarde plus dans leurs directions tous des directeurs
Fatigués et blasés par l'effort qu'il ne font plus par peur
D'être pris dans la valse lente de la ronde des gens qui partagent
Un idéal de vie une sorte de monde ou les possibilités sont infinies
Le métissage, la culture, la musique, l'art le droit et les devoirs
Inscrit dans les mots comme respect, partage des richesses, sciences
Connaissance des uns et ouverture des autres cette formidable énergie
Valdingué dans de vieux morceau de journaux pour les adorateurs de la catharsis
Brimades et champion en titre ont remporté le match de la morosité
En temps de guerre livré au monde un peuple désassemblé
Par la folie belliqueuse des politiciens qui n'ont rien que les palabres
Regarde cette fougue dans la jeunesse qui dit non on y croit plus vraiment
Maintenant la ville, la cité est au peuple que vous le débattiez ou non
Partout le soulèvement est passé et les esprits sont clairs, le silence est juste
Nous faisons notre monde loin des velléités d'un pouvoir économique
J'aimerai tant entendre ça dans les médias oui le gouvernement à perdu le peuple du monde
D'un monde qui change inexorablement et qui n'est plus dans les urnes
Mais dans les rues extraordinaire besoin de se retrouver de se rassurer
C'est notre mélodie des jours heureux celle des gens qui chantent à la vie
Dommage qu'aucun des roi-mages de l'image n'ait envie de parler de nous en bien.
Les routes que je traverse ? comme celle de la vie ?
Parfois je me regarde dedans comme son miroir
Elle se demande surement ce que je peux y faire de bien
Sinon un sourire dans un naufrage devenu une ligne de conduite
Funeste précipices ou prophétie sombre augure du siècle
La mort est partout la peur règne par le velours - un piège
Comme votre majesté est plainte elle est aimée par dépit
Ils ont nié leurs appétits de l'époque pour de la politique
Brave gaillard de france tous courbé devant l'évidence
Que le cycle se répète ininterrompu les vieilles dames
Les gentils hommes ne veulent pas que le monde change
Comment faire pour leur dire que nous avons le droit au monde
Un monde qui ne l'ai plus diront-ils les yeux sur leur ère
Perdre tellement de temps devant les autorités de la souffrance
Pour dire combien la douleur est pesante sur nos corps blessés
Vaincu par une abération de la justice ou la raison sociale est bafouée
Je ne regarde plus dans leurs directions tous des directeurs
Fatigués et blasés par l'effort qu'il ne font plus par peur
D'être pris dans la valse lente de la ronde des gens qui partagent
Un idéal de vie une sorte de monde ou les possibilités sont infinies
Le métissage, la culture, la musique, l'art le droit et les devoirs
Inscrit dans les mots comme respect, partage des richesses, sciences
Connaissance des uns et ouverture des autres cette formidable énergie
Valdingué dans de vieux morceau de journaux pour les adorateurs de la catharsis
Brimades et champion en titre ont remporté le match de la morosité
En temps de guerre livré au monde un peuple désassemblé
Par la folie belliqueuse des politiciens qui n'ont rien que les palabres
Regarde cette fougue dans la jeunesse qui dit non on y croit plus vraiment
Maintenant la ville, la cité est au peuple que vous le débattiez ou non
Partout le soulèvement est passé et les esprits sont clairs, le silence est juste
Nous faisons notre monde loin des velléités d'un pouvoir économique
J'aimerai tant entendre ça dans les médias oui le gouvernement à perdu le peuple du monde
D'un monde qui change inexorablement et qui n'est plus dans les urnes
Mais dans les rues extraordinaire besoin de se retrouver de se rassurer
C'est notre mélodie des jours heureux celle des gens qui chantent à la vie
Dommage qu'aucun des roi-mages de l'image n'ait envie de parler de nous en bien.