la Terre désolée
Publié : 08 nov. 2024 11:19
merci à nouga de me redonner espoir et d'écrire, même si c'est un hasard de la vie que de se reconnaitre en l'autre un hasard heureux bien évidement
LA TERRE DESOLEE
C’était là, autrefois, la vie dans son désir profond
Et toutes les étoiles chatoyantes faisaient commerce
Des prières sacrées d’enfant des fruits et du labeur
Pour rendre la promesse faite, un acte pour l’Homme.
C’était enfin ce que nous espérions – Crédules visages.
Le monde est devenu et la nuit a enflé de parfums suaves
Les esprits balançant devant les ténèbres grandissantes.
C’était l’ivresse de l’impossible rendu vrai comme la mort
Et tous se délectaient à son sein de pue et de bile
Se sevrant même de la lumière du jour de la Grâce divine
Pour être entièrement conquis par les Princes et les destructeurs
Parce que la Peur que les anges eux ignorent – pouvoir du cœur
La Peur était un fardeau pour les mortels que nous étions
Il nous faut le désir oui et le plaisir d’être dans l’amour véritable
Mais nous ne pouvions l’imaginer avec la peur terrible d’être.
Parce que tout devenait vraiment possible nous ne regardions plus
Aveuglé par la clarté de la lune veilleuse des âmes errantes
Elle avait toutes les rubis et tout l’argile à elle, l’argile de la pensée
Celle qui invente le monde de demain, cette espérance était nue
Dévorée assoiffée de plus – d’une énergie qui rendait malade le cœur
Et comme il ne venait aucune réponse à la Peur d’être dans les hommes
Ils ne voulaient simplement plus se voir par son miroir et son autorité.
La peur pourtant fait des principes et des rites qui donnent sens à l’Homme
Oui vraiment dans cette sinistre nuit du monde noir de terreur nous avons voulu
Cesser d’avoir peur pour vivre dans les ténèbres quitte à ne plus être humain
Et devenir des ouvriers d’un destin de morosité et de médiocrité.
De sentiment tièdes – d’espoir oublié en courage léger nous avons faillit
Et la Terre fut entièrement recouverte par la nuit et la désolation.
Les hommes se voyaient eux-mêmes de la catégorie des bêtes infâmes
Des pourvoyeurs du sinistre des adorateurs de la catharsis des menteurs !
Des voleurs et des brigands tout ce spectacle de la fausseté était devenu un jeu
Un simple jeu des esprits retord et malveillants qui gravissaient leur prestige
Ce mal infecte qui coordonne le mérite pour les limbes et les sacrifiés
Ceux qui ne connurent et ne connaitrons jamais la grâce d’un soleil noir.
Et nous avions peur soudain d’être de la fange et non d’Abel et tel Caïn
Nous avons tué en nous la lumière sœur pour vendre la terre au silence de la raison.
Et cette folie était servit par les sergents de la bêtise pachyderme de haine
Qui pansent leur festin aux yeux de tous sans autres distraction que de voir mourir
Parce que c’était le châtiment des temps modernes que de vivre vite et sans âme
Sans plus jamais entendre la poésie et la contemplation respirer dans nos idées.
Ce souffle léger qui éteint la peur s’était essoufflé avec la Peur d’être ou de ne pas être.
Shakespeare avait cette vision prophétique de celui qui veut être plus que l’acteur
Mais tout le spectacle et bien que le théâtre fût sombre et sanglant sur Terre
Tout le monde redoublait d’effort pour être dans la partie la vérité sans recherche
Simplement parce que toute la vérité était enfouie dans les tréfonds de la Grandeur
Et nous nous satisfaisions de ne plus voir le monde comme une mère et son enfant
A qui ont ordonné, c’est vrai, mais à qui on apprend. Et tout grand homme s’arrachait
Le devoir d’être la vérité et la réponse à la vérité c’était la terre désolée.
Et nous avons enfants des brumes charmant la marge de la marche du monde
Marcher longtemps pour venir des nuages graisseux de l’oubli vous rappelez
Que Dieu c’est absenté de l’Homme ! et que son silence est plus terrible que la mort
Il est se gouffre sans fin qu’on rempli chaque jour de fausse réponse et de vrais mensonges
Ceux qui trahissent et font mal, ceux qui oublie que l’amour est un sentiment et un acte
Et qu’il faut avoir peur de vivre sans amour ! parce que c’est le ciment du Vivant.
Alors nous maudit que nous sommes je me demande à quoi sert votre vie dans ces actes de la mort,
Et qu’avez-vous fait pour que la vie soit un sens et la Raison une auberge de rire – un havre de paix ?
Rien vous n’avez rien fait sinon vous désoler avec la terre et vous enfermer dans le ventre de la nuit
J’ai du chagrin et une foi renouvelée de ma savoir atroce et incompris de vous
Parce que je me suis laissé comme d’autres envahir par le doute sur la nature du monde.
Et ce que je vois dans ce théâtre de la banalité qui refuse la peur c’est que la peur remplace Dieu.
Rien vous n’avez rien fait pour marcher en sa compagnie et écouter les anges rafistoler le temps
Le temps qui passe et qui nous surprend chaque jour qui nous rassemble un peu plus
Nous les enfants de brumes dans la plainte et l’infortune nous allons voyez vous
Prendre notre part de lumière loin des cavernes de la nuit qui hurle la peur en vous.
LA TERRE DESOLEE
C’était là, autrefois, la vie dans son désir profond
Et toutes les étoiles chatoyantes faisaient commerce
Des prières sacrées d’enfant des fruits et du labeur
Pour rendre la promesse faite, un acte pour l’Homme.
C’était enfin ce que nous espérions – Crédules visages.
Le monde est devenu et la nuit a enflé de parfums suaves
Les esprits balançant devant les ténèbres grandissantes.
C’était l’ivresse de l’impossible rendu vrai comme la mort
Et tous se délectaient à son sein de pue et de bile
Se sevrant même de la lumière du jour de la Grâce divine
Pour être entièrement conquis par les Princes et les destructeurs
Parce que la Peur que les anges eux ignorent – pouvoir du cœur
La Peur était un fardeau pour les mortels que nous étions
Il nous faut le désir oui et le plaisir d’être dans l’amour véritable
Mais nous ne pouvions l’imaginer avec la peur terrible d’être.
Parce que tout devenait vraiment possible nous ne regardions plus
Aveuglé par la clarté de la lune veilleuse des âmes errantes
Elle avait toutes les rubis et tout l’argile à elle, l’argile de la pensée
Celle qui invente le monde de demain, cette espérance était nue
Dévorée assoiffée de plus – d’une énergie qui rendait malade le cœur
Et comme il ne venait aucune réponse à la Peur d’être dans les hommes
Ils ne voulaient simplement plus se voir par son miroir et son autorité.
La peur pourtant fait des principes et des rites qui donnent sens à l’Homme
Oui vraiment dans cette sinistre nuit du monde noir de terreur nous avons voulu
Cesser d’avoir peur pour vivre dans les ténèbres quitte à ne plus être humain
Et devenir des ouvriers d’un destin de morosité et de médiocrité.
De sentiment tièdes – d’espoir oublié en courage léger nous avons faillit
Et la Terre fut entièrement recouverte par la nuit et la désolation.
Les hommes se voyaient eux-mêmes de la catégorie des bêtes infâmes
Des pourvoyeurs du sinistre des adorateurs de la catharsis des menteurs !
Des voleurs et des brigands tout ce spectacle de la fausseté était devenu un jeu
Un simple jeu des esprits retord et malveillants qui gravissaient leur prestige
Ce mal infecte qui coordonne le mérite pour les limbes et les sacrifiés
Ceux qui ne connurent et ne connaitrons jamais la grâce d’un soleil noir.
Et nous avions peur soudain d’être de la fange et non d’Abel et tel Caïn
Nous avons tué en nous la lumière sœur pour vendre la terre au silence de la raison.
Et cette folie était servit par les sergents de la bêtise pachyderme de haine
Qui pansent leur festin aux yeux de tous sans autres distraction que de voir mourir
Parce que c’était le châtiment des temps modernes que de vivre vite et sans âme
Sans plus jamais entendre la poésie et la contemplation respirer dans nos idées.
Ce souffle léger qui éteint la peur s’était essoufflé avec la Peur d’être ou de ne pas être.
Shakespeare avait cette vision prophétique de celui qui veut être plus que l’acteur
Mais tout le spectacle et bien que le théâtre fût sombre et sanglant sur Terre
Tout le monde redoublait d’effort pour être dans la partie la vérité sans recherche
Simplement parce que toute la vérité était enfouie dans les tréfonds de la Grandeur
Et nous nous satisfaisions de ne plus voir le monde comme une mère et son enfant
A qui ont ordonné, c’est vrai, mais à qui on apprend. Et tout grand homme s’arrachait
Le devoir d’être la vérité et la réponse à la vérité c’était la terre désolée.
Et nous avons enfants des brumes charmant la marge de la marche du monde
Marcher longtemps pour venir des nuages graisseux de l’oubli vous rappelez
Que Dieu c’est absenté de l’Homme ! et que son silence est plus terrible que la mort
Il est se gouffre sans fin qu’on rempli chaque jour de fausse réponse et de vrais mensonges
Ceux qui trahissent et font mal, ceux qui oublie que l’amour est un sentiment et un acte
Et qu’il faut avoir peur de vivre sans amour ! parce que c’est le ciment du Vivant.
Alors nous maudit que nous sommes je me demande à quoi sert votre vie dans ces actes de la mort,
Et qu’avez-vous fait pour que la vie soit un sens et la Raison une auberge de rire – un havre de paix ?
Rien vous n’avez rien fait sinon vous désoler avec la terre et vous enfermer dans le ventre de la nuit
J’ai du chagrin et une foi renouvelée de ma savoir atroce et incompris de vous
Parce que je me suis laissé comme d’autres envahir par le doute sur la nature du monde.
Et ce que je vois dans ce théâtre de la banalité qui refuse la peur c’est que la peur remplace Dieu.
Rien vous n’avez rien fait pour marcher en sa compagnie et écouter les anges rafistoler le temps
Le temps qui passe et qui nous surprend chaque jour qui nous rassemble un peu plus
Nous les enfants de brumes dans la plainte et l’infortune nous allons voyez vous
Prendre notre part de lumière loin des cavernes de la nuit qui hurle la peur en vous.