new rules
Publié : 15 janv. 2025 13:06
titre emprunté à dua lipa.
Voici des extraits de mes nouveaux carnets je les partage pour voir si c'est interessant d'en faire un recueil plutard. merci de votre lecture.
TRES BONNE JOURNEE A toutes et Tous
Il faut continuer d’y croire
Je ne sais pas pourquoi je revendique toutes ces choses
Est-ce que cela me sauvera un jour
Pour que nous soyons heureux d’être parvenu à se comprendre
Je sais qu’a cet instant je me regarde et que je cherche une réponse
Mais elle n’existe pas vraiment
Je peux être tout. Je peux devenir n’importe qui
En écoutant doucement cette musique triste qui tourne
Autour de mon monde et donne le vertige
C’est toujours la même chose qui me vient dans ces moments là
Où je veux entrevoir une autre voie
Peut-être dans un autre monde - un autre jour
Je connais des filles vraiment géniales qui donne envie de vivre et l’écrire
Nous voilà déjà à la conclusion d’un acte
Et rien ne ressort de mon analyse
Je pourrais dire simplement que je dois m’attacher à ce qui me fait du bien
Et entretenir la flamme jusqu’à ce qu’une d’entre elles
Veuillent bien prendre avec moi le flambeau de l’amour véritable
Parce que je vais sans amour dans les mondes que je traverse
Combien de personne compte pour toi
T’es tu déjà demander si c’est possible de vivre ainsi
Dans un monde de réseau et de connexion
Peut-être que je vois d’une façon différente les choses
Le monde est endormi sur ces laurier le malin file à toute allure
Dans mes pas l’empreinte d’un homme fatigué d’affronter des moulins
Mais qui respire encore et marche dans l’eau fraiche bois à la fontaine
Et soulève la lune parce qu’il aime se souvenir de cette promesse
La protéger toujours
Peut-être devrais-je abandonné et renoncer
Renoncer au renom et à l’âge qu’on m’octroie
Comme la maladie qui me caractérise malheureusement
Peut-être devrais-je arrêter d’écrire toutes ces choses
Parce qu’elles sont le fruit d’un esprit cassé torturé
L’amour que je croyais acquis à l’être n’est plus de la partie
Je me sens libre et nu de pouvoir réapprendre à Vivre.
Seulement écrire est un membre supplémentaire
Que j’aiguise depuis tant d’année à être le plus près de moi
Et le plus grand possible autour de moi, comme si j’invoquai
Des forces anciennes et profondes de mon stylo bille
Putain j’ai volé ce crayon qui me fait dire
Des trucs complétement dingue
Mais je les trouve constructives ces phases.
---------------------------------------------------------------------------------------
Je suis dans la rue, un homme noir me salue, il vient de Zion. Il a dans son sourire une certitude, cette histoire des cycles de la vie. Nous nous sommes croisés avec respect, je lui ai retourné mon bonjour avec la joie dans le cœur, comme si nous avions traversé ensemble les siècles qui nous sépare de notre naissance commune. J’aime le croire en tout cas. LA REINCARNATION n’est qu’une ligne continue qui honore les voyageurs des ères, c’est un magicien qui me l’a enseigné dans un rêve pareil à ce rêve-là. Car je dormais et je songeais à ma place dans le monde. Ils m’ont offert de la vivre cette énième chance de comprendre pourquoi je suis capable de produire ce genre de sensation, que nous sommes relié tous, par la fluctuation, que nous sommes reliés, que les astres autan que le souffle du vent y sont reliés dans une lente valse des éléments. C’est devenu une sorte de marotte – Retrouver les graines qui ont germé de mon passé. Je le vis comme une mission divine, qui consisterait à tous nous retrouvé pour s’unir et se rendre grâce et grâce au forces telluriques qui concentre toute l’énergie de la vie.
Suis-je assez fou ou assez fort pour l’entendre la vérité sur cette voie. Je me réveille le cœur paisible, dans cette vie pénible, et je sais que mon esprit est clair d’avoir parcouru le rêve le plus important pour moi. Je me demande juste si cela à du sens où les arbres se penchent pour écouter à l’envers du corps la rumeur de la terre vibrante … [LA QUÊTE DE MES RACINES].
------------------------------------------------------------------
Elle se dit que la vie l’a oubliée
Dans sa chambre de petite fille
Elle rêve de chanter sur scène
Dans sa chambre de petite fille.
Elle a grandi Tanis Lee roule son join
Et fume dans la lumière nébuleuse
De son esprit où tout est blessé.
Rien n’est fait de grande musique
Son cœur est endormi
Elle croise les jambes et songe :
Rien ne vient de splendide
Et le spectacle du jour est sordide
Je ne connaitrais jamais la vie rapide
DANS CETTE MASSE INSIPIDE
Le sort en est jeté je vais devenir
Une tueuse de géant pour toujours
Et entretenir le feu de la Terre
Pour faire briller les yeux de mes frères.
Mais rien ne vient et elle s’endort
Dans cette nuit placide
Où même son ombre complote des plans perfides.
--------------------------------------------------------------
La volonté d’être dans la lumière blanche me parcourt. Cela vient de la fissure qui laisse paraitre une respiration de l’âme celle qui donne sens à notre matière à vivre. Je ne m’intéresse pas trop à mon corps c’est peut-être ma part de Yin qui obstrue le Yang de mon métabolisme. Mais j’ai mal à mon corps à sa part de monstruosité, qui vient des années de supplique empreinte de mon vécu douloureux. L’urgence d’écrire quand le stylo signe la fin de l’encre cette peur est la même de devoir tout être dans la lumière blanche comme tout dire sur la page de mon désarroi…
-------------------------------------------------------------
Je cherche à dire quelque chose de difficile sur ma vision du monde et il me semble que je n’ai pas les mots nécessaires pour parvenir à mes fins.
Je devrais écrire un jeu de rôle [un LIVRE] qui parle de cette aventure intérieure riche où l’homme se transforme en créature de l’esprit comme avalé par l’ombre reliée au monde des Ténèbres – c’est la façon de voir dans le théâtre de la caverne. Je crois que je suis en quête d’une sortie un exit pour l’exil et que c’est comme en Prison tout est contrôlé par les hommes marionnettistes qui manipulent le feu pour effrayer les hommes de leurs propres ombres. Mais la lumière est tout au bout une délivrance de l’Eveillé.
------------------------------------------------------------
TENUE MILITAIRE
TU NE PEUX PAS ME JUGER
ET C’EST AU TEMPS DE FAIRE
SON ŒUVRE.
Ma MINE DE CRAYON
Me donne l’air d’un rayon
Dans son sillon
Des millions de mots
Laisser depuis 25 ans
Je n’ai jamais trouvé
La force d’écrire ma vie
Ma vision des choses
Peut-être ici je vais essayer
De réunir tout ce qui peut l’être.
------------------------------------------------------------------
Le ciel bleu accapare mes pensées il me siffle hé mec la solitude c’est être debout au milieu des morts
Tristesse plie le crépuscule fane je traine dans la ville avec mes fantômes je prends un meug et je fume un keuf, je le fais pour mes reuf pris au piège d’un système qui leur vend d’la neige artificiel dans le désert de nos quotidiens brutaux. Je marque le théâtre de la banalité et je les fuck comme Elon Musk je suis un génie quand il s’agit de prendre un stylo, criminel au microphone j’cogne et cogne, donne mon mal de vivre dans la nullité du monde. Aux mains des sergent de la bêtise médiatique
Je rêve laisse mes rêves vivre le temps que la réalité me mette une claque, je rap au black membre pratiquant l’art du gong, j’articule les particules universelles du DaFa compréhension des énergies divines tend l’oreille à ce que je divulgue.
Ce n’est plus la peine de t’imaginer sortir de cette merde quand tu en avales tous les jours à chaque repas et chaque sieste elle rentre dans ta tête et te façonne comme une empreinte de pied dans le béton que tu crois être, dur mec ! tu succomberas à toutes leurs promesses pour vu que ça te donne le change, déshabille toi tu le fera et tu deviendra rapidement un pute qu’on sacrifie facilement si elle montre les crocs. Tu n’as pas idée de l’emprise qu’ils ont sur ta santé mentale, pourtant tout les fous sont affectés par l’intox aux infos. Souviens toi que nous sommes contre Babylone pour que le sourire des gosses rayonne autour d’une grosse balle bleue. Comme la terre ou coule des fleuves de sang où les empires sont fondés sur le dos des montagnes et des rivières même.
moonz
Voici des extraits de mes nouveaux carnets je les partage pour voir si c'est interessant d'en faire un recueil plutard. merci de votre lecture.
TRES BONNE JOURNEE A toutes et Tous
Il faut continuer d’y croire
Je ne sais pas pourquoi je revendique toutes ces choses
Est-ce que cela me sauvera un jour
Pour que nous soyons heureux d’être parvenu à se comprendre
Je sais qu’a cet instant je me regarde et que je cherche une réponse
Mais elle n’existe pas vraiment
Je peux être tout. Je peux devenir n’importe qui
En écoutant doucement cette musique triste qui tourne
Autour de mon monde et donne le vertige
C’est toujours la même chose qui me vient dans ces moments là
Où je veux entrevoir une autre voie
Peut-être dans un autre monde - un autre jour
Je connais des filles vraiment géniales qui donne envie de vivre et l’écrire
Nous voilà déjà à la conclusion d’un acte
Et rien ne ressort de mon analyse
Je pourrais dire simplement que je dois m’attacher à ce qui me fait du bien
Et entretenir la flamme jusqu’à ce qu’une d’entre elles
Veuillent bien prendre avec moi le flambeau de l’amour véritable
Parce que je vais sans amour dans les mondes que je traverse
Combien de personne compte pour toi
T’es tu déjà demander si c’est possible de vivre ainsi
Dans un monde de réseau et de connexion
Peut-être que je vois d’une façon différente les choses
Le monde est endormi sur ces laurier le malin file à toute allure
Dans mes pas l’empreinte d’un homme fatigué d’affronter des moulins
Mais qui respire encore et marche dans l’eau fraiche bois à la fontaine
Et soulève la lune parce qu’il aime se souvenir de cette promesse
La protéger toujours
Peut-être devrais-je abandonné et renoncer
Renoncer au renom et à l’âge qu’on m’octroie
Comme la maladie qui me caractérise malheureusement
Peut-être devrais-je arrêter d’écrire toutes ces choses
Parce qu’elles sont le fruit d’un esprit cassé torturé
L’amour que je croyais acquis à l’être n’est plus de la partie
Je me sens libre et nu de pouvoir réapprendre à Vivre.
Seulement écrire est un membre supplémentaire
Que j’aiguise depuis tant d’année à être le plus près de moi
Et le plus grand possible autour de moi, comme si j’invoquai
Des forces anciennes et profondes de mon stylo bille
Putain j’ai volé ce crayon qui me fait dire
Des trucs complétement dingue
Mais je les trouve constructives ces phases.
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Je suis dans la rue, un homme noir me salue, il vient de Zion. Il a dans son sourire une certitude, cette histoire des cycles de la vie. Nous nous sommes croisés avec respect, je lui ai retourné mon bonjour avec la joie dans le cœur, comme si nous avions traversé ensemble les siècles qui nous sépare de notre naissance commune. J’aime le croire en tout cas. LA REINCARNATION n’est qu’une ligne continue qui honore les voyageurs des ères, c’est un magicien qui me l’a enseigné dans un rêve pareil à ce rêve-là. Car je dormais et je songeais à ma place dans le monde. Ils m’ont offert de la vivre cette énième chance de comprendre pourquoi je suis capable de produire ce genre de sensation, que nous sommes relié tous, par la fluctuation, que nous sommes reliés, que les astres autan que le souffle du vent y sont reliés dans une lente valse des éléments. C’est devenu une sorte de marotte – Retrouver les graines qui ont germé de mon passé. Je le vis comme une mission divine, qui consisterait à tous nous retrouvé pour s’unir et se rendre grâce et grâce au forces telluriques qui concentre toute l’énergie de la vie.
Suis-je assez fou ou assez fort pour l’entendre la vérité sur cette voie. Je me réveille le cœur paisible, dans cette vie pénible, et je sais que mon esprit est clair d’avoir parcouru le rêve le plus important pour moi. Je me demande juste si cela à du sens où les arbres se penchent pour écouter à l’envers du corps la rumeur de la terre vibrante … [LA QUÊTE DE MES RACINES].
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Elle se dit que la vie l’a oubliée
Dans sa chambre de petite fille
Elle rêve de chanter sur scène
Dans sa chambre de petite fille.
Elle a grandi Tanis Lee roule son join
Et fume dans la lumière nébuleuse
De son esprit où tout est blessé.
Rien n’est fait de grande musique
Son cœur est endormi
Elle croise les jambes et songe :
Rien ne vient de splendide
Et le spectacle du jour est sordide
Je ne connaitrais jamais la vie rapide
DANS CETTE MASSE INSIPIDE
Le sort en est jeté je vais devenir
Une tueuse de géant pour toujours
Et entretenir le feu de la Terre
Pour faire briller les yeux de mes frères.
Mais rien ne vient et elle s’endort
Dans cette nuit placide
Où même son ombre complote des plans perfides.
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La volonté d’être dans la lumière blanche me parcourt. Cela vient de la fissure qui laisse paraitre une respiration de l’âme celle qui donne sens à notre matière à vivre. Je ne m’intéresse pas trop à mon corps c’est peut-être ma part de Yin qui obstrue le Yang de mon métabolisme. Mais j’ai mal à mon corps à sa part de monstruosité, qui vient des années de supplique empreinte de mon vécu douloureux. L’urgence d’écrire quand le stylo signe la fin de l’encre cette peur est la même de devoir tout être dans la lumière blanche comme tout dire sur la page de mon désarroi…
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Je cherche à dire quelque chose de difficile sur ma vision du monde et il me semble que je n’ai pas les mots nécessaires pour parvenir à mes fins.
Je devrais écrire un jeu de rôle [un LIVRE] qui parle de cette aventure intérieure riche où l’homme se transforme en créature de l’esprit comme avalé par l’ombre reliée au monde des Ténèbres – c’est la façon de voir dans le théâtre de la caverne. Je crois que je suis en quête d’une sortie un exit pour l’exil et que c’est comme en Prison tout est contrôlé par les hommes marionnettistes qui manipulent le feu pour effrayer les hommes de leurs propres ombres. Mais la lumière est tout au bout une délivrance de l’Eveillé.
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TENUE MILITAIRE
TU NE PEUX PAS ME JUGER
ET C’EST AU TEMPS DE FAIRE
SON ŒUVRE.
Ma MINE DE CRAYON
Me donne l’air d’un rayon
Dans son sillon
Des millions de mots
Laisser depuis 25 ans
Je n’ai jamais trouvé
La force d’écrire ma vie
Ma vision des choses
Peut-être ici je vais essayer
De réunir tout ce qui peut l’être.
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Le ciel bleu accapare mes pensées il me siffle hé mec la solitude c’est être debout au milieu des morts
Tristesse plie le crépuscule fane je traine dans la ville avec mes fantômes je prends un meug et je fume un keuf, je le fais pour mes reuf pris au piège d’un système qui leur vend d’la neige artificiel dans le désert de nos quotidiens brutaux. Je marque le théâtre de la banalité et je les fuck comme Elon Musk je suis un génie quand il s’agit de prendre un stylo, criminel au microphone j’cogne et cogne, donne mon mal de vivre dans la nullité du monde. Aux mains des sergent de la bêtise médiatique
Je rêve laisse mes rêves vivre le temps que la réalité me mette une claque, je rap au black membre pratiquant l’art du gong, j’articule les particules universelles du DaFa compréhension des énergies divines tend l’oreille à ce que je divulgue.
Ce n’est plus la peine de t’imaginer sortir de cette merde quand tu en avales tous les jours à chaque repas et chaque sieste elle rentre dans ta tête et te façonne comme une empreinte de pied dans le béton que tu crois être, dur mec ! tu succomberas à toutes leurs promesses pour vu que ça te donne le change, déshabille toi tu le fera et tu deviendra rapidement un pute qu’on sacrifie facilement si elle montre les crocs. Tu n’as pas idée de l’emprise qu’ils ont sur ta santé mentale, pourtant tout les fous sont affectés par l’intox aux infos. Souviens toi que nous sommes contre Babylone pour que le sourire des gosses rayonne autour d’une grosse balle bleue. Comme la terre ou coule des fleuves de sang où les empires sont fondés sur le dos des montagnes et des rivières même.
moonz
