L'bord du ciel
Publié : 28 janv. 2025 10:30
BONJOUR je m'essaie un texte un peu plus emprunt de joie disons
De prime abord,
Parfois je m’endors et rêve tendrement d’insomnie,
On dirait un pays d’Afrique noire –
Noire et bondée comme cette nuit prolifique,
Le cœur à la chamade je songe à Miss Barbade,
De rimes belles comme pluie de grenade
À l’instar de Clara, des syllabes enchantées, Morgane de toi
Je dispense des conférences du Bonheur,
Idée neuve et audacieuse face à l’empire mondial des destructeurs
Qui design la haine fashion. J’y exposerai la part belle d’un blanc bec
Instruit par les Pléiades mêmes, une sorte de constat heureux
Où leur vérité deal souvent avec l’amour,
Où la réalité s’empresse de leur exploser la tête.
Deuxième strophe,
Il faut l’apprendre la joie comme fille d’un mélodrame américain
Embrasser comme jamais, mais comme jamais, cette voie je veux dire
Elle a les couleurs des espoirs fous qui nous concrétise
C’est comme dire un rire tu ne peux pas l’empêcher de te venir
Sans prévenir qui te rend jouasse et t’invite à le rendre publique
C’est dans le ventre qu’il pousse où séjourne Dieu selon moi
Puisque nous passons notre temps à satisfaire notre faim bestiale
D’amour, d’espérance, de magie poétique, de splendeurs infinies
Il entre en scène ce drôle de truc léger comme un clown à l’hélium
Et nous emporte avec le monde de Dylan qui tourne et change et vibre
Alors on se laisse prendre au jeu et on attend avec bonheur le happy End
Troisième mi-temps
On boit à cette félicité de la vie, avec modération on s’exalte et s’épanche
Sur une fleur douce en robe à motifs bleus qui se désape comme fumée
L’embrassant d’un baiser de feu dans cet entre-deux où le partenaire
N’est autre que notre alter-égo on se découvre et on se dit qu’on est bien
Par décision on prend au sérieux cette affaire de poils blanc de ride du sourire
Et on file notre vie de petits riens comme autan de perles dans le ciel étoilé
Parfois je m’endors et rêve tendrement, parfois je m’adore et m’éprend
De la valse nocturne sur la musique des promesses interminables à la Gloire
J’invente des histoires et je décris là une part du Bonheur notre allié
Quand aucune réponse automatique ne suffit à faire la culbute.
De prime abord,
Parfois je m’endors et rêve tendrement d’insomnie,
On dirait un pays d’Afrique noire –
Noire et bondée comme cette nuit prolifique,
Le cœur à la chamade je songe à Miss Barbade,
De rimes belles comme pluie de grenade
À l’instar de Clara, des syllabes enchantées, Morgane de toi
Je dispense des conférences du Bonheur,
Idée neuve et audacieuse face à l’empire mondial des destructeurs
Qui design la haine fashion. J’y exposerai la part belle d’un blanc bec
Instruit par les Pléiades mêmes, une sorte de constat heureux
Où leur vérité deal souvent avec l’amour,
Où la réalité s’empresse de leur exploser la tête.
Deuxième strophe,
Il faut l’apprendre la joie comme fille d’un mélodrame américain
Embrasser comme jamais, mais comme jamais, cette voie je veux dire
Elle a les couleurs des espoirs fous qui nous concrétise
C’est comme dire un rire tu ne peux pas l’empêcher de te venir
Sans prévenir qui te rend jouasse et t’invite à le rendre publique
C’est dans le ventre qu’il pousse où séjourne Dieu selon moi
Puisque nous passons notre temps à satisfaire notre faim bestiale
D’amour, d’espérance, de magie poétique, de splendeurs infinies
Il entre en scène ce drôle de truc léger comme un clown à l’hélium
Et nous emporte avec le monde de Dylan qui tourne et change et vibre
Alors on se laisse prendre au jeu et on attend avec bonheur le happy End
Troisième mi-temps
On boit à cette félicité de la vie, avec modération on s’exalte et s’épanche
Sur une fleur douce en robe à motifs bleus qui se désape comme fumée
L’embrassant d’un baiser de feu dans cet entre-deux où le partenaire
N’est autre que notre alter-égo on se découvre et on se dit qu’on est bien
Par décision on prend au sérieux cette affaire de poils blanc de ride du sourire
Et on file notre vie de petits riens comme autan de perles dans le ciel étoilé
Parfois je m’endors et rêve tendrement, parfois je m’adore et m’éprend
De la valse nocturne sur la musique des promesses interminables à la Gloire
J’invente des histoires et je décris là une part du Bonheur notre allié
Quand aucune réponse automatique ne suffit à faire la culbute.