déviance
Publié : 13 févr. 2025 10:39
C’est encore cette grise mine des mauvais jours qui revient
Habitué Oh ouais ! comme un boomerang – et la vie est plate
Avachi dans cette frustration de ne pas pouvoir de me perdre
Comme si tout ça avait un sens pour la machine du monde
Devenir un autre mec, ne m’apporte rien et je me vautre
Dans cette posture désagréable pratiquement sûr de vivre
Quelle blessure sera suffisante pour en finir – vraiment tu ne vois rien ?
Les premières lueurs d’espoir peut-être viennent de ce truc
Que je pratique comme une étude importante de la vie
Je n’ai pas de définition pas de préceptes pour rendre vrai
Toutes cette drôle de bête noir qui grimpe dans mon esprit
Il faut de la peine pour écrire ? il faut que je peine à vivre
Pour être présent là dans la vérité de mon existence
Tout ça est tellement devenu obscur ouais c’est clair
Tu vois, c’est ma façon définitive de remédier à la mort.
C’est un poème que je rêve et qui se perds dans les nuages
Dit à bout de lèvres et quand je veille dans mon sommeil pensif
Prendre cet esquif esquiver les trappes fumer de l’herbe drôle
Détenir les clés de ma propre prison dans un asile à ciel ouvert
Je suis dans cette vapeur écarlate qui m’empêche de croire
Remonter en selle reprendre du service foncer sur page
Entreprendre une virée dans les rues de la perdition
Et revenir à l’homme sauvage dans l’océan de l’information
Tout se télescope dans ma tête et je rêve d’un silence d’or.
Habitué Oh ouais ! comme un boomerang – et la vie est plate
Avachi dans cette frustration de ne pas pouvoir de me perdre
Comme si tout ça avait un sens pour la machine du monde
Devenir un autre mec, ne m’apporte rien et je me vautre
Dans cette posture désagréable pratiquement sûr de vivre
Quelle blessure sera suffisante pour en finir – vraiment tu ne vois rien ?
Les premières lueurs d’espoir peut-être viennent de ce truc
Que je pratique comme une étude importante de la vie
Je n’ai pas de définition pas de préceptes pour rendre vrai
Toutes cette drôle de bête noir qui grimpe dans mon esprit
Il faut de la peine pour écrire ? il faut que je peine à vivre
Pour être présent là dans la vérité de mon existence
Tout ça est tellement devenu obscur ouais c’est clair
Tu vois, c’est ma façon définitive de remédier à la mort.
C’est un poème que je rêve et qui se perds dans les nuages
Dit à bout de lèvres et quand je veille dans mon sommeil pensif
Prendre cet esquif esquiver les trappes fumer de l’herbe drôle
Détenir les clés de ma propre prison dans un asile à ciel ouvert
Je suis dans cette vapeur écarlate qui m’empêche de croire
Remonter en selle reprendre du service foncer sur page
Entreprendre une virée dans les rues de la perdition
Et revenir à l’homme sauvage dans l’océan de l’information
Tout se télescope dans ma tête et je rêve d’un silence d’or.