j'irais peindre chez retailleau
Publié : 23 févr. 2025 11:17
Le temps s’effondre et frappe la foudre
Les ténèbres s’engouffrent et brûle la poudre
Qui est dans l’autre-monde ? qui veille là ?
Oh dites-moi que ce n’est qu’un mauvais siècle !
Qu’on y passera plus bientôt loin de l’orage et tout
Comme une blessure béante où un navire vogue
Cherchant les rivages et l’Amérique de nos premiers rêves
Cette fortune et l’immensité d’un Eldorado pour les héros
Ile-de-France perdu sur l’asphalte gosse paumé du bitume
Je me traine ma pensée est pleine de billet et de collier d’or
De la platine au haschich de la vitre de fenêtre
Au banc du spot il n’y a plus grand-chose ici de valeureux
Tout est cassé tout est dans les mauvaise bouche
Comme si ils étaient né du caniveau avec leurs palabres
J’en ai rien à foutre rien à faire je filme mon chemin
Gopro OG tout ces porcs je les envoie à l’abatage
L’arbitrage à fait trop de fautes sur le terrain, j’y crois plus
G dans la peau je pars je m’en fous de toutes leurs paroles
Se niquer la vie pour faire comme ci on avait bien compris
Ou se défoncer comme des zombards pour oublier
Sur mon fil je fonce la page et roule ma bosse jusqu’au plage
En bretagne c’est plus près de l’Amérique Céleste de Kerouac
Des fumeurs d’herbe. Pablo Escroc au bar fait moins peur
Ou j’ai grandi la tête dure sur des poèmes sombres en granit
Je clash les mitos d’en haut et les faux mc sans micro
Je suis là fou pour eux, fou et poète neck plus ultra que moi
C’est bien trop loin – j’ai marché plus que cent d’entre eux
Ils nous enlèvent nos penny et bugs bunny mange leur micropenis
Cosmique est ma colère, ma rage est de l’enfer un diamant de sang
Pur enfant soldat dans ces rues de mon oubli pour vandaliser leurs murs
Je ne suis personne tout juste présidentiable pour ceux qui hurlent
Que la poudre brule, que la foudre tonne, que la haine pousse si on la sème
Je viens foutre la zizanie comme zidane dribble en zigzag sur le terrain
Je marque mon époque comme une fresque derrrière le prisunic
Ma phonétique est faite de beton armé alors je fais quoi bat je tire
Le portrait d’un type banal dans une époque qui à oublier un truc
C’est toujours le petit peuple qui fait la tête de turc et ces faux pd se font victimes
Après avoir lancer des pierres, ils incriminent mes frères et mes rimes.
Les ténèbres s’engouffrent et brûle la poudre
Qui est dans l’autre-monde ? qui veille là ?
Oh dites-moi que ce n’est qu’un mauvais siècle !
Qu’on y passera plus bientôt loin de l’orage et tout
Comme une blessure béante où un navire vogue
Cherchant les rivages et l’Amérique de nos premiers rêves
Cette fortune et l’immensité d’un Eldorado pour les héros
Ile-de-France perdu sur l’asphalte gosse paumé du bitume
Je me traine ma pensée est pleine de billet et de collier d’or
De la platine au haschich de la vitre de fenêtre
Au banc du spot il n’y a plus grand-chose ici de valeureux
Tout est cassé tout est dans les mauvaise bouche
Comme si ils étaient né du caniveau avec leurs palabres
J’en ai rien à foutre rien à faire je filme mon chemin
Gopro OG tout ces porcs je les envoie à l’abatage
L’arbitrage à fait trop de fautes sur le terrain, j’y crois plus
G dans la peau je pars je m’en fous de toutes leurs paroles
Se niquer la vie pour faire comme ci on avait bien compris
Ou se défoncer comme des zombards pour oublier
Sur mon fil je fonce la page et roule ma bosse jusqu’au plage
En bretagne c’est plus près de l’Amérique Céleste de Kerouac
Des fumeurs d’herbe. Pablo Escroc au bar fait moins peur
Ou j’ai grandi la tête dure sur des poèmes sombres en granit
Je clash les mitos d’en haut et les faux mc sans micro
Je suis là fou pour eux, fou et poète neck plus ultra que moi
C’est bien trop loin – j’ai marché plus que cent d’entre eux
Ils nous enlèvent nos penny et bugs bunny mange leur micropenis
Cosmique est ma colère, ma rage est de l’enfer un diamant de sang
Pur enfant soldat dans ces rues de mon oubli pour vandaliser leurs murs
Je ne suis personne tout juste présidentiable pour ceux qui hurlent
Que la poudre brule, que la foudre tonne, que la haine pousse si on la sème
Je viens foutre la zizanie comme zidane dribble en zigzag sur le terrain
Je marque mon époque comme une fresque derrrière le prisunic
Ma phonétique est faite de beton armé alors je fais quoi bat je tire
Le portrait d’un type banal dans une époque qui à oublier un truc
C’est toujours le petit peuple qui fait la tête de turc et ces faux pd se font victimes
Après avoir lancer des pierres, ils incriminent mes frères et mes rimes.