prolifik poetry
Publié : 09 mars 2025 11:24
J’ai plié la taule, ils ont mordu d’dans
Les dents éclatées sur la corde à linge
A leurs yeux, on est tous des singes
Mais ils marchent en les évitants c’est évident.
Je plante le décor au stylo bille black
Encore un jour étrange ciel de novembre
Dimanche, je squatte ma petite chambre
J’enquête comme Peter Flack et j’hacke
Dissimuler derrière une Majeur on remet le couvert
J’ai trop souffert pour pleurer sur l’passé
Toutes façon on les a tous dépassé
Dans deux trois ans j’serais mort ou couvert
Je leur ai ouvert mon cœur ils y voient un piège
Alors je prends une track un son dark trap
J’ai tout fait pour m’asseoir ils sont pas cap
Ils n’ont qu’un pas à faire pour prendre le siège
Ces cons prennent le jeu comme un stylo jetable
J’ai mis et cuisiner à la table et dormi à l’étable
Parce que mon cœur est plein du sable de la traversée
Alors je récite mes versets et ramène l’ombre de Persée
Je suis sourd à l’amour tiède dans les palabres
Je ne manie pas les notes je joue avec des sabres
Avec un accent de sale arabe, qui leur fait péter un câble
Et mon phrasé une tempête de graine de sable
Je sème des problèmes comme des beaux poèmes
Pour la Roumanie des Carpates à la bohème
Quand tu fais du mal ils hurlent quand tu es bienveillant
Ils se taisent, quand je thèse elle croit que je la baise
C’est un problème insalubre sans baume sans lubrifiant
Edifiant mon empire de fleur comme une montagne de braise
Je suis griot de Dreux, druide breizh, chaman des mots
Le crayon hémophile je défie le temps perdu à gagner le jeu
Et quand je fait tourné tous diront c’est qu’un type un ti-peu
Un ex-drogué, un parasite dun système, mais au stylo
Je suis le meilleur avec un BEPC, j’ai décuplé mes capacités
Depuis que l’amour me haie, puisque exister doit consister
Pour eux à être le marteau du juge ou celui du maçon
Je martèle mon blase MOONZ poète prolifque qui flique
Les keufs, nique des mères, sinon je vailtra et trafique
Des rimes authentique en cherchant un endroit une maison
Parce que la vie, n’aura pas raison de moi et des miens
Sans faire un pas, je réclame pas ce qui m’es dû je le vole à l’arrachée
Et putain c’est tout ce qu’y a faire vrai ou faux incognito ou flashé
Fuck the world et no future, c’est dur à vivre, mais c’est pour not’bien.
Les dents éclatées sur la corde à linge
A leurs yeux, on est tous des singes
Mais ils marchent en les évitants c’est évident.
Je plante le décor au stylo bille black
Encore un jour étrange ciel de novembre
Dimanche, je squatte ma petite chambre
J’enquête comme Peter Flack et j’hacke
Dissimuler derrière une Majeur on remet le couvert
J’ai trop souffert pour pleurer sur l’passé
Toutes façon on les a tous dépassé
Dans deux trois ans j’serais mort ou couvert
Je leur ai ouvert mon cœur ils y voient un piège
Alors je prends une track un son dark trap
J’ai tout fait pour m’asseoir ils sont pas cap
Ils n’ont qu’un pas à faire pour prendre le siège
Ces cons prennent le jeu comme un stylo jetable
J’ai mis et cuisiner à la table et dormi à l’étable
Parce que mon cœur est plein du sable de la traversée
Alors je récite mes versets et ramène l’ombre de Persée
Je suis sourd à l’amour tiède dans les palabres
Je ne manie pas les notes je joue avec des sabres
Avec un accent de sale arabe, qui leur fait péter un câble
Et mon phrasé une tempête de graine de sable
Je sème des problèmes comme des beaux poèmes
Pour la Roumanie des Carpates à la bohème
Quand tu fais du mal ils hurlent quand tu es bienveillant
Ils se taisent, quand je thèse elle croit que je la baise
C’est un problème insalubre sans baume sans lubrifiant
Edifiant mon empire de fleur comme une montagne de braise
Je suis griot de Dreux, druide breizh, chaman des mots
Le crayon hémophile je défie le temps perdu à gagner le jeu
Et quand je fait tourné tous diront c’est qu’un type un ti-peu
Un ex-drogué, un parasite dun système, mais au stylo
Je suis le meilleur avec un BEPC, j’ai décuplé mes capacités
Depuis que l’amour me haie, puisque exister doit consister
Pour eux à être le marteau du juge ou celui du maçon
Je martèle mon blase MOONZ poète prolifque qui flique
Les keufs, nique des mères, sinon je vailtra et trafique
Des rimes authentique en cherchant un endroit une maison
Parce que la vie, n’aura pas raison de moi et des miens
Sans faire un pas, je réclame pas ce qui m’es dû je le vole à l’arrachée
Et putain c’est tout ce qu’y a faire vrai ou faux incognito ou flashé
Fuck the world et no future, c’est dur à vivre, mais c’est pour not’bien.