le feu pour les Frères (Video clip)
Publié : 15 avr. 2025 23:06
VIDEO DIT
https://youtu.be/8YmTisLn3Q0
Comme la mort me vient, devrais-je la croire ?
Il n’est pas de grande chose qui me plie à leurs causes
Le monde m’ennuie et la nuit me ment
Comme la lune changeante comme la fille errante.
Tu sais, je chante, triste dame, pour oublier ma vie passée.
Ils voudraient que je plonge, que je rampe et que je me taillade.
Et puis que je disparaisse au gré du vent sans bruit
Ne pas être causant et me taire, c’est m’enterrer vivant.
Pour que cette histoire, mon frère, soit la raison de ma vie
Est-ce que ma vie vaut la peine que l’on se tue à me faire taire
Je me demande combien de larmes ont coulé pour me brûler
Combien de rires se sont réjouis que, malgré tout, je sois en vie.
Je n’échapperai pas à votre sanction et ne succomberai pas à l’injustice
D’un procureur de la République qui me voit comme une bête humaine
Et ne laisse aucun mot, sinon un parricide devant Dieu : qui ai-je tué ?
J’ai des armes à encre et des larmes de cendres.
Je vais brûler leur monde puisqu’ils ne veulent pas donner l’eau
Peut-être que, dans les restes fumants de leurs chaumes,
Ils se souviendront de ce petit bonhomme sorti des flammes
Sans une main secourable sans la paix et l’aide de personne.
Ce que j’ai soulevé, je l’ai soulevé seul, et ce que j’ai accompli, bien peu peuvent le dire.
Et je suis la pire chose que ce système a vue naitre
Je suis l’incarnation même de la liberté, debout aux côtés des plus illustres figures.
Ce que vous pensez me concerne peu : je m’en moque éperdument,
Que ce soit pour vos médailles ou pour tout autre chose.
Je suis malade de feu, fou bon Dieu, je vais leur montrer le monde.
Qu’ils ne disent jamais et qu’ils vivent en rêve, un monde de paix
Pour leurs enfants, leurs parents, leurs clients, leurs patients
Mais pour moi, moi, je n’ai pas le droit à l’amour ni à la paix.
Parce que je suis différent et pourtant, je la trouve ici
Alors je rends hommage au mage dans les virages de ma vie
Silencieux et sages qui veillent un peu sur le chemin de faire
D’un type plutôt ordinaire, prêt à baiser toute la Terre, sa mère…
Pour allumer du feu au frère et la guerre aux mondes des fous
Qui est de nous un danger pour ce monde, sinon vos armes à feu
Vos génocides, vos guerres par la famine, vos guerres par la maladie
Pour un peu de billets verts, rouges, noirs, de sang, je suis dégouté,
De vous plaire comme de vous faire le plaisir de vous haïr ;
Vous êtes la merde de ce monde prête à tout pour vendre sur les ondes
La fortune immense du ciel, du soleil, de la mer de la terre
Je suis honteux d’être des vôtres et je lève haut le poing pour nous autres.
Nous, les autres, ceux qu’on ne voit pas qu’on n’entend pas.
Qui soulève le glaive de lave dans la nuit, comme un fanal, un phare
J’ai mal à mon monde, alors je slame l’âme comme vous lâcher des bombes
Je suis le monde futur, l’implacable force de la destinée
Je chevauche un destrier mort comme l’espoir pour faire naitre
La peur chez vous, parce que Dieu m’a fait renaitre comme Lazarus.
Je suis le membre disparu du cercle, je suis le fanion ardent de la furie du peuple.
Je suis la parole des rangs et la caresse des lames dans leurs fourreaux
Je suis la Guerre de l’ombre et le frère de la lumière. Je suis là.
Pour éclairer et détruire, forger et brûler, je suis le feu primordial
Que les hommes se transmettent comme on offre une main un témoin
Je suis la bête entreprise de l’amour et je n’ai rien à déclarer
Sinon, je veux savoir pourquoi vous m’avez créé si c’est pour me détruire.
Moonz
www.poezy.fr
https://youtu.be/8YmTisLn3Q0
Comme la mort me vient, devrais-je la croire ?
Il n’est pas de grande chose qui me plie à leurs causes
Le monde m’ennuie et la nuit me ment
Comme la lune changeante comme la fille errante.
Tu sais, je chante, triste dame, pour oublier ma vie passée.
Ils voudraient que je plonge, que je rampe et que je me taillade.
Et puis que je disparaisse au gré du vent sans bruit
Ne pas être causant et me taire, c’est m’enterrer vivant.
Pour que cette histoire, mon frère, soit la raison de ma vie
Est-ce que ma vie vaut la peine que l’on se tue à me faire taire
Je me demande combien de larmes ont coulé pour me brûler
Combien de rires se sont réjouis que, malgré tout, je sois en vie.
Je n’échapperai pas à votre sanction et ne succomberai pas à l’injustice
D’un procureur de la République qui me voit comme une bête humaine
Et ne laisse aucun mot, sinon un parricide devant Dieu : qui ai-je tué ?
J’ai des armes à encre et des larmes de cendres.
Je vais brûler leur monde puisqu’ils ne veulent pas donner l’eau
Peut-être que, dans les restes fumants de leurs chaumes,
Ils se souviendront de ce petit bonhomme sorti des flammes
Sans une main secourable sans la paix et l’aide de personne.
Ce que j’ai soulevé, je l’ai soulevé seul, et ce que j’ai accompli, bien peu peuvent le dire.
Et je suis la pire chose que ce système a vue naitre
Je suis l’incarnation même de la liberté, debout aux côtés des plus illustres figures.
Ce que vous pensez me concerne peu : je m’en moque éperdument,
Que ce soit pour vos médailles ou pour tout autre chose.
Je suis malade de feu, fou bon Dieu, je vais leur montrer le monde.
Qu’ils ne disent jamais et qu’ils vivent en rêve, un monde de paix
Pour leurs enfants, leurs parents, leurs clients, leurs patients
Mais pour moi, moi, je n’ai pas le droit à l’amour ni à la paix.
Parce que je suis différent et pourtant, je la trouve ici
Alors je rends hommage au mage dans les virages de ma vie
Silencieux et sages qui veillent un peu sur le chemin de faire
D’un type plutôt ordinaire, prêt à baiser toute la Terre, sa mère…
Pour allumer du feu au frère et la guerre aux mondes des fous
Qui est de nous un danger pour ce monde, sinon vos armes à feu
Vos génocides, vos guerres par la famine, vos guerres par la maladie
Pour un peu de billets verts, rouges, noirs, de sang, je suis dégouté,
De vous plaire comme de vous faire le plaisir de vous haïr ;
Vous êtes la merde de ce monde prête à tout pour vendre sur les ondes
La fortune immense du ciel, du soleil, de la mer de la terre
Je suis honteux d’être des vôtres et je lève haut le poing pour nous autres.
Nous, les autres, ceux qu’on ne voit pas qu’on n’entend pas.
Qui soulève le glaive de lave dans la nuit, comme un fanal, un phare
J’ai mal à mon monde, alors je slame l’âme comme vous lâcher des bombes
Je suis le monde futur, l’implacable force de la destinée
Je chevauche un destrier mort comme l’espoir pour faire naitre
La peur chez vous, parce que Dieu m’a fait renaitre comme Lazarus.
Je suis le membre disparu du cercle, je suis le fanion ardent de la furie du peuple.
Je suis la parole des rangs et la caresse des lames dans leurs fourreaux
Je suis la Guerre de l’ombre et le frère de la lumière. Je suis là.
Pour éclairer et détruire, forger et brûler, je suis le feu primordial
Que les hommes se transmettent comme on offre une main un témoin
Je suis la bête entreprise de l’amour et je n’ai rien à déclarer
Sinon, je veux savoir pourquoi vous m’avez créé si c’est pour me détruire.
Moonz
www.poezy.fr