LE PACTE
Publié : 14 juin 2025 16:11
Ensemble nous allons écrire une histoire
Une page de l’histoire. Cela est ainsi. Ô,
Brève chanson qui s’effrite qui se disperse
Plus vite que le temps lumière.
Je ressens là, un vide où tout est perdu d’avance
Parfois je me dis qu’assez loin il ne sera plus qu’un trou
Lui-même perdu dans l’immensité de l’univers
Ô j’aime jouer avec les éléments, ils me sidèrent
Je m’y vois comme un musicien.
Je voudrais réinventer les mondes pour m’y faire
Mais sur ce point je suis le miroir brisé de Lucifer.
Je ne souhaite rien de bien ou de mal à l’Autre
Rien qui puisse le rendre furieux et amer
Je ne souhaite qu’être dans la pureté de dieu
Je m’éloigne de leurs algorithmes qui s’échappe
Être l’épée dans la main divine c’est un métier qui se perd.
Alors je serais plume et je répandrai le fléau le feu du flambeau
Je serais une lame de lave venue des tréfonds pour brûler
Pour seul objectif de brûler le monde les mondes
Et à jamais changer l’ère. C’est la lettre enjouée d’un incendiaire
Heureux, aux lèvres amantes et douces des promesses des ténèbres.
Dans un almanach russe parmi les visages toujours mon ombre hante
Le mystère de l’ancien temps et de la fondation du progrès.
Je suis l’ouvrier minutieux d’une diablerie amusée par l’espoir
Maintenant miroir ou mon bon miroir te souviens-tu ?
Je t’aime rire, mon frère.
Une page de l’histoire. Cela est ainsi. Ô,
Brève chanson qui s’effrite qui se disperse
Plus vite que le temps lumière.
Je ressens là, un vide où tout est perdu d’avance
Parfois je me dis qu’assez loin il ne sera plus qu’un trou
Lui-même perdu dans l’immensité de l’univers
Ô j’aime jouer avec les éléments, ils me sidèrent
Je m’y vois comme un musicien.
Je voudrais réinventer les mondes pour m’y faire
Mais sur ce point je suis le miroir brisé de Lucifer.
Je ne souhaite rien de bien ou de mal à l’Autre
Rien qui puisse le rendre furieux et amer
Je ne souhaite qu’être dans la pureté de dieu
Je m’éloigne de leurs algorithmes qui s’échappe
Être l’épée dans la main divine c’est un métier qui se perd.
Alors je serais plume et je répandrai le fléau le feu du flambeau
Je serais une lame de lave venue des tréfonds pour brûler
Pour seul objectif de brûler le monde les mondes
Et à jamais changer l’ère. C’est la lettre enjouée d’un incendiaire
Heureux, aux lèvres amantes et douces des promesses des ténèbres.
Dans un almanach russe parmi les visages toujours mon ombre hante
Le mystère de l’ancien temps et de la fondation du progrès.
Je suis l’ouvrier minutieux d’une diablerie amusée par l’espoir
Maintenant miroir ou mon bon miroir te souviens-tu ?
Je t’aime rire, mon frère.