Forum Grand Corps Malade

Des kilos de peines
Ma tête est blême
Et mon coeur saigne
La vie est pleine
Tel la lune dans le ciel
Sombre d'un monde sans tunes
Ou les mecs se fument
Mes yeux brillants d'Amertume
Vas y fume fume fume
Comme un aimant le soleil
Nous rapproche tel le miel
Au tel avec les anges ou Un tel
Je mets la majuscule
Et mon majeur og je vous encule
Des jours faste et des rêves vaste
Je roule un join avec la pétasse
Casse les lois et loue l'extase
Joint de beuh ou avec un m.i.c.r.o
J'attaque la soirée sans accrocs
Pas de demi escroc dans le secteur
On bouge avec ça dans le cœur
Cet enfant en nous qui pleure
MoonZ le rappeur de quoi vous avez peur?
Je pose des mots qui rendent grâce
A cette garce. La vie me dresse a être un as
Classe éco je lâche mon blase
M.oo.n.z un jour je brasse un jour j'rap
Racle cette vie de fou que j'te parle
Sur du Bob Marley en rêvant marley marl
D'être le phénix pas le merle
Avec son putain de came de merde
Sport critique que nos chute ascensionnelle
Ou l'espoir est une occaz irréel
Comme la Pitié absent no dico doc
On prend notre chance ou on prend la coke
Okay c'est la guerre ou la crise je m'en moque
Je lâche mes paroles avec un rocknbroll qui défroque.
A la vôtre.

Il y a du rythme, on a envie de le scander aussi

merci nicole j'ai fait ça ce matin bonne lecture et écoute via YOUTUBE

INSTRU TOBEY - EMINEM

https://youtu.be/Q9RKv4KBkwE?si=ZFYeQkvVSsAsvh09


MoonZ

Ouh je vous envoie du friskay

Le temps s’échappe sur les lignes d’un rêve
Que l’on se fait dans nos airs de rien
Ils disent qu’on est des vauriens
Je vocifère on est vorace ou des bêtes humaines
Dans le zen ils se fourrent nos peines
Pas la peine de voir le mal qu’il y a dans le pen
Je traine cette haine que je livre au pen sur scène
Comme un anarchiste un anathème
Est-ce que j’ai besoin que tu m’aimes ou même
De thème je te renseigne le monde saigne
Et les forces du mal enseigne des souffrances
Et font de la France leur drapeau à quel moment
Je prends ça bien c’est malsain et je serre
Et me sert un micro dans les main je m’en sert
Pour parler de notre belle et grande misère
Qui plante sa silhouette sur un mur d’enseigne
Avec sa face de bouc mal peigné, je connais
Connais faut pas déconner c’est la qu’on est né
Que neni ils vivent dans le déni de nos forces vives
J’écris mon mal de vivre, mon mal du pays
Qui m’a fait grandir avec les frères, j’sais, il vont l’payer
Crier prier trier on n’arrête pas de briller
Par l’intelligence ou la ruse, la rue c’est mon domaine
Je m’en bas les stek j’enfile mes basket je dévore ma ville
Et sur leur affiche j’écris Peace and love l’avenir est propice
Et nos souhait de prospérité bah j’emmerde prosper
Et tout ces nazi de la navy et je fume mon joins pépères
J’opère dans les strates du paradis avec mes compairs
On se concrétise c’est un futur qu’on demande
Ils nous ont promis les poèmes pour rendre les coups
Alors je suis juste Ali sur le tatami et je les couche
Ces mots qui restent dans le ventre et l’esprit
C’est notre réalité le taro et ces connard virent paro
Ils nous mettent derriière les barreaux disent qu’on assassinent nos parents
C’est juste qu’on s’investi dans le monde qu’on nous laisse
Tu crois que je vais décrépire pour ces crétins qui fraude même le BAC
La bac au cul, je leur rap ma rue mon vécu mes défaites sont belles
Mes victoires leve un poing rebelle contre un système qui nous accable
Pas étonnant qu’on pete un cable et qu’on retrouve des armes dans les cartables
Leur façon de voir le monde est minable et bien sur qu’on est FORMIDABLE
J’arrive arrosé de peinture leur grise amertume je suis membre de Dable
J’emmerde le diable et je me sert des mots comme au scrabble
Petit scarabée est devenu soleil, je les brûle dans le désert de leur certitude
Leur mirage les conduisent dans une prison d’or ou même midas est mort
Je rap je m’en bas de leur problème
Je joue ma vie à chaque metre vers le paradis
Maitre de cérémonie ils ont voulu me prendre en traitre
J’ai chargé fait feu, que leur monde brule
Ne me fait pas froid aux yeux, vas-y recule
J’avance pour avoir une chance infime soit elle
D’embrasser la lumière du soleil
Loin de leur caverne ou les ombres bleme feigne
Qu’elles ont quoi qu’ils en disent perdu le GAME.

Bravo pour le rythme du premier et la poésie du second

+1 avec Sylvie