Les Signes
Publié : 17 juil. 2025 21:34
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La Cruauté, tu sais je m’en bas, mes larmes me brûlent
Peux-tu en faire autant quand je te parle vrai
Je suis le sceau de leurs châteaux des merveilles
Pour apprendre à l’ange le langage des mains
Sur l’écrin d’un soir sans faim
L’ennui solitaire se délasse et l’air se glace
Jour chaud nuit pleine la fumée des fumiers
Noircissent de cendre l’avenir des gosses.
Mange mon miel il tombe du ciel
Pour vous des flammes pour eux des bombes
La haine et la rage se donne en spectacle
Dans le froid regard des passants pour la plage
Guerre sauvage qu’on inflige aux abeilles
Les gens s’indignent mais on ne parle pas de génocide
Je suis le gène dans les éclats de voix des rebelles
Si belle est la vie hein Frida comme la ritournelle
Je construis ma vie avec un calibre de 12 et un opinel
Sur le zinc je fais rouler le fer pour un frère
Contre un verre ma sœur, avec un ange ébène
La vie ne m’apprend rien de votre paradis blanc
Alors je le colore comme un pipoteur
Avec des mots magique – sanglante lune
Chante la brise des marins perdus en mer
Partout c’est la lumière qui inspire l’air
Et dans les dunes vertes et foisonnantes
Où les racines les plus solides sont les ronces
On s’en jette une rasade pour faire passer la couleuvre
Nos cœurs en bouilli nous attaquent à chaque coin de rue
Rageux et haineux je n’y ai vu qu’un simple jeu.
Je parle peu de ma vie
Elle est sombre et souffre de plaintes terribles
Je ne ressens aucune joie vraie de la retrouver
Sur cette feuille j’essaie de l’illuminer
Quand tu prends tes rêves pour une réalité
Ils te disent que tu es fou que tu te mens à toi-même
Et pourtant l’un dans l’autre on en arrive tous au même
Alors ils se taisent parfois ses mondes sombres qui pèsent
En vrai je n’arrive pas à en parler
C’est la nuit qui m’a vu grandir
Ma mère me laissait chez la nurse
Ensuite j’ai cherché la lumière
Qui nous guide comme un phare
A bord d’un coupé sport 2 places je roule
Toujours en place je coule à ma perte
Dans ce théâtre dur et sordide
Où les usines désaffectées qu’on arpente
Nous font des portes secrètes loi de la tristesse de la ville pauvre
Où il faut être braves pour le respect des autres.
La Cruauté, tu sais je m’en bas, mes larmes me brûlent
Peux-tu en faire autant quand je te parle vrai
Je suis le sceau de leurs châteaux des merveilles
Pour apprendre à l’ange le langage des mains
Sur l’écrin d’un soir sans faim
L’ennui solitaire se délasse et l’air se glace
Jour chaud nuit pleine la fumée des fumiers
Noircissent de cendre l’avenir des gosses.
Mange mon miel il tombe du ciel
Pour vous des flammes pour eux des bombes
La haine et la rage se donne en spectacle
Dans le froid regard des passants pour la plage
Guerre sauvage qu’on inflige aux abeilles
Les gens s’indignent mais on ne parle pas de génocide
Je suis le gène dans les éclats de voix des rebelles
Si belle est la vie hein Frida comme la ritournelle
Je construis ma vie avec un calibre de 12 et un opinel
Sur le zinc je fais rouler le fer pour un frère
Contre un verre ma sœur, avec un ange ébène
La vie ne m’apprend rien de votre paradis blanc
Alors je le colore comme un pipoteur
Avec des mots magique – sanglante lune
Chante la brise des marins perdus en mer
Partout c’est la lumière qui inspire l’air
Et dans les dunes vertes et foisonnantes
Où les racines les plus solides sont les ronces
On s’en jette une rasade pour faire passer la couleuvre
Nos cœurs en bouilli nous attaquent à chaque coin de rue
Rageux et haineux je n’y ai vu qu’un simple jeu.
Je parle peu de ma vie
Elle est sombre et souffre de plaintes terribles
Je ne ressens aucune joie vraie de la retrouver
Sur cette feuille j’essaie de l’illuminer
Quand tu prends tes rêves pour une réalité
Ils te disent que tu es fou que tu te mens à toi-même
Et pourtant l’un dans l’autre on en arrive tous au même
Alors ils se taisent parfois ses mondes sombres qui pèsent
En vrai je n’arrive pas à en parler
C’est la nuit qui m’a vu grandir
Ma mère me laissait chez la nurse
Ensuite j’ai cherché la lumière
Qui nous guide comme un phare
A bord d’un coupé sport 2 places je roule
Toujours en place je coule à ma perte
Dans ce théâtre dur et sordide
Où les usines désaffectées qu’on arpente
Nous font des portes secrètes loi de la tristesse de la ville pauvre
Où il faut être braves pour le respect des autres.