Mortel ennui
Publié : 04 févr. 2024 10:35
Puisqu'on ne s'aime plus comme avant
Que la passion s'en est allée
Et que nos coeurs aux quatre vents
Finissent par s'éloigner
Puisque nous partageons le même lit
Mais qu'entre nous il y a un monde
Et que nos coeurs se délient
Dans un silence qui grondent
Puisqu'il faut faire le deuil d'à nouveau se lover
Et que nous sommes au seuil d'un nouveau printemps
Qui ravive nos coeurs, d'un amour délavé
Perdant de sa couleur, par l'usure du temps
Puisque nos amours mortes, telles des feuilles dans le vent
Qui nous pousse, nous emporte, vers d'autres sentiments
Nous déchire et nous porte, loin de la vie d'avant
Voilà ton fantôme qui m'escorte, dans les rues en ciment
Puisqu'il ne sera plus jamais, je garde en moi ce toujours
Apaisant mes regrets, à l'aube d'un nouveau jour
De toi, femme qui m'aimait, en proie aux vautours
Qui rôdent et attendaient, dans la laideur des faubourgs
Puisque la chanson est finie pour combattre les tambours
cette douce mélodie, exilée de l'amour
Se diffuse dans mes nuits et habille mes jours
Ainsi va le mortel ennui, je t'aimerai toujours...
Que la passion s'en est allée
Et que nos coeurs aux quatre vents
Finissent par s'éloigner
Puisque nous partageons le même lit
Mais qu'entre nous il y a un monde
Et que nos coeurs se délient
Dans un silence qui grondent
Puisqu'il faut faire le deuil d'à nouveau se lover
Et que nous sommes au seuil d'un nouveau printemps
Qui ravive nos coeurs, d'un amour délavé
Perdant de sa couleur, par l'usure du temps
Puisque nos amours mortes, telles des feuilles dans le vent
Qui nous pousse, nous emporte, vers d'autres sentiments
Nous déchire et nous porte, loin de la vie d'avant
Voilà ton fantôme qui m'escorte, dans les rues en ciment
Puisqu'il ne sera plus jamais, je garde en moi ce toujours
Apaisant mes regrets, à l'aube d'un nouveau jour
De toi, femme qui m'aimait, en proie aux vautours
Qui rôdent et attendaient, dans la laideur des faubourgs
Puisque la chanson est finie pour combattre les tambours
cette douce mélodie, exilée de l'amour
Se diffuse dans mes nuits et habille mes jours
Ainsi va le mortel ennui, je t'aimerai toujours...