J'laisse pas un homme dans le flou mon module est béni comme une autoroute russe
Mon grammage pirate des programme travail ou chance, je gère frère mène l'enquête
Toutes options je suis cultivé par Zion
Babylone avec une arme chargée je sais mal visé alors j'allume dans un carré v.i.p
La vie est une chienne je cours après le chaos, j'suis la théorie des ensembles comme ils disent c'est lui qui ferme le four et contrôle la zone comme un 4x.
Épéiste j'ai planté le drapeau dans le troisième oeil de ces tarés attablés comme une empreinte de main dans le Gouffre
Une araignée au plafond j'appuie sur la haine d'internet un rock and troll
J'invente des idée bizarre pour qu'il sortent de leur tanière tiens allé niker vos mere silhouette affriolante ma poésie hypnotique trouble Messmer
J'ai des choses nouvelles je refais la course trop riche pour que ça me touche
Milliardaire d'histoire me suffit
Quand il comprendront qu'il faut d'abord des fusils ici pour être le profit du profit.
J'aime bien exploser des têtes comme un expert de jeu de guerre toujours, encore c'est la taule ici, c'est devenu tellement facile et factice d'être complexe comme le cul de ta majorette. J'ai déjà déjeuné avec la Belle j'ai ramené les valeurs d'une mère de famille dans une révolution de tartenpion. L'envie de vivre c'est plus plaisant au lèvres d'un amour ça change le goût des choses comme une bonne came. Si t'es kamikaze tente le kami barge qui grippe la raison du plus fort avec un faible pour les moment vrais, j'ai remporté facile le titre de bout en bout. Bah oui ficelle.
le scorpion de Jade par Moonz
le scorpion de Jade par Moonz
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: le scorpion de Jade par Moonz
Babylone/again
L’impression dépassait les plus pessimistes prémonitions
Et la descente aux abymes avait l’allure d’un renouveau babylonien
Avec en prime, le prisme de la société en train de se noyer
L’avenir lançait son cri du cœur, comme la bombe déchiquète les illusions
Des files de gens habillés, en strate de vêtements
Était-ce une nouvelle façon de cacher ses émotions
La mode prend parfois des airs de rébellion
À moins que l’esprit grégaire soit l’idéal apparemment
La lueur criarde du Subway et sa foule pressée
S’isolant des regards assassins, des requins des lieues
Tous acquis au Dieu technologie, des mobiles déchainés
Assurant les liaisons rassurantes à leurs yeux
La ville offrant des instantanés de décors
Où se croisent des architectures, des styles, un environnement
Prestige d’un passé révolu, ou ont disparu les ors
Et la lente érosion des bâtiments faute d’argent
La pluie lave les crasses, pour mieux revivre
La cité ne dort jamais dans ce cataclysme
Et les cris des sans-logis pas toujours ivres
Se confondent avec l’opulence et l’égoïsme
Les échos parlent de corruption, de décadence
Beaucoup annoncent la chute, la fin des idéaux
Une irrémédiable sensation de désespérance
Ainsi coule notre miroir, nous précipitant dans les eaux
Adieu folie, beauté, et inénarrable laideur
L’histoire nous contraint à l’inexorable destin
Des êtres qui se croyaient plus fort que la splendeur
Et qui ne laisseront qu’un vide diluvien
L’impression dépassait les plus pessimistes prémonitions
Et la descente aux abymes avait l’allure d’un renouveau babylonien
Avec en prime, le prisme de la société en train de se noyer
L’avenir lançait son cri du cœur, comme la bombe déchiquète les illusions
Des files de gens habillés, en strate de vêtements
Était-ce une nouvelle façon de cacher ses émotions
La mode prend parfois des airs de rébellion
À moins que l’esprit grégaire soit l’idéal apparemment
La lueur criarde du Subway et sa foule pressée
S’isolant des regards assassins, des requins des lieues
Tous acquis au Dieu technologie, des mobiles déchainés
Assurant les liaisons rassurantes à leurs yeux
La ville offrant des instantanés de décors
Où se croisent des architectures, des styles, un environnement
Prestige d’un passé révolu, ou ont disparu les ors
Et la lente érosion des bâtiments faute d’argent
La pluie lave les crasses, pour mieux revivre
La cité ne dort jamais dans ce cataclysme
Et les cris des sans-logis pas toujours ivres
Se confondent avec l’opulence et l’égoïsme
Les échos parlent de corruption, de décadence
Beaucoup annoncent la chute, la fin des idéaux
Une irrémédiable sensation de désespérance
Ainsi coule notre miroir, nous précipitant dans les eaux
Adieu folie, beauté, et inénarrable laideur
L’histoire nous contraint à l’inexorable destin
Des êtres qui se croyaient plus fort que la splendeur
Et qui ne laisseront qu’un vide diluvien
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: le scorpion de Jade par Moonz
Merci pour ces voyages.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif