La vie
La vie
Bonjour
Ok
Mon âme a quoi a faire la dedans
Tu as le bien et le mal
Tu fais le mal tu as le bien
Tu fais le bien tu as mal
La rue sa use sa Suze
Les rouge Renegats triment
A chacun sa bohème
A chacun ses problèmes
Je fais le thème et slam
Qu'est ce que tu as avec cette lame
Vaste plaine et rire drôle
Chose dans chose je décolle
Ma vie est un aimant d'la rue
Roule fume fait j'ai la berlue
Tise et triste artiste crise
Croise nous mon amour
Tout les jours
Comme la police
Je suis poli et la gueule de polish
Je fripe fripouille leur cours
Je suis mal sain vivant va vis ça
Tu n'imagines pas
Ce que je t'aimais Keny Arkana
Comme dans le dico
De mon tel seul je rêve de votre retour
Revenir de la mort
C'est dire que c'est dur nous sommes la somme
La société je m'en va les roy
Savent que je fais les choses sans trouille
Seule l'eau rouille
On nous a fait le pire.
Le pire c'est qu'on en rigole
Ok
Mon âme a quoi a faire la dedans
Tu as le bien et le mal
Tu fais le mal tu as le bien
Tu fais le bien tu as mal
La rue sa use sa Suze
Les rouge Renegats triment
A chacun sa bohème
A chacun ses problèmes
Je fais le thème et slam
Qu'est ce que tu as avec cette lame
Vaste plaine et rire drôle
Chose dans chose je décolle
Ma vie est un aimant d'la rue
Roule fume fait j'ai la berlue
Tise et triste artiste crise
Croise nous mon amour
Tout les jours
Comme la police
Je suis poli et la gueule de polish
Je fripe fripouille leur cours
Je suis mal sain vivant va vis ça
Tu n'imagines pas
Ce que je t'aimais Keny Arkana
Comme dans le dico
De mon tel seul je rêve de votre retour
Revenir de la mort
C'est dire que c'est dur nous sommes la somme
La société je m'en va les roy
Savent que je fais les choses sans trouille
Seule l'eau rouille
On nous a fait le pire.
Le pire c'est qu'on en rigole
Re: La vie
J'ai honte de dire que j'ai dû chercher Keny Arkana sur le net, je suis hors d'âge et je ne retiens pas le nom des artistes
Re: La vie
La vie
Toujours un coup d’avance, le présent ne lâche jamais l’affaire,
Et le futur ne fait pas de manières.
Quand au passé il est mort et enterré, avec ou sans regrets,
C’est à chacun d’en décider.
Dans cette course qu’est la vie, le rythme dépend de ses envies,
Et s’il vient parfois nous hanter.
C’est sa façon de vous dire, vous avez vieilli.
Bien sûr le présent est contraignant, mais sans lui quelle platitude,
Seul avec ses petites habitudes, serait assommant.
Il faut oser prendre de l’altitude.
Souvent les doutes font changer de routes,
Itinéraire non fléché où le risque ne se calcule pas sur les doigts de la main.
Car chaque demain doit nous faire casser la croûte.
Pour respirer notre destin.
Le présent est un puits sans fond, réservant des instants imaginaires
Ou le hasard s’inscrit sans véritables ordres définis.
C’est ce sel qui donne aux journées l’alternative à l’ordinaire,
Le kif de sentir sa vie, sans le carcan suicidaire de l’ennui.
Aujourd’hui ne doit pas être habituel, si on veut que l’adrénaline soit notre voisine,
aujourd’hui a besoin de son stock d’émotions.
De choix, d’options mêmes sans solutions, le rêve ne se lit pas que dans les magazines
Il est le compagnon trublion de nos heures accordéon.
Alors le reste n’est pas prioritaire, encore moins important,
Car l’important c’est ce qui nous consume, nous anime, nous maintient en vie,
Cette soif sans cesse abreuvée que l’on nomme le présent
Mais cela vous l’avez saisi, c’est le supplément chantilly.
Toujours un coup d’avance, le présent ne lâche jamais l’affaire,
Et le futur ne fait pas de manières.
Quand au passé il est mort et enterré, avec ou sans regrets,
C’est à chacun d’en décider.
Dans cette course qu’est la vie, le rythme dépend de ses envies,
Et s’il vient parfois nous hanter.
C’est sa façon de vous dire, vous avez vieilli.
Bien sûr le présent est contraignant, mais sans lui quelle platitude,
Seul avec ses petites habitudes, serait assommant.
Il faut oser prendre de l’altitude.
Souvent les doutes font changer de routes,
Itinéraire non fléché où le risque ne se calcule pas sur les doigts de la main.
Car chaque demain doit nous faire casser la croûte.
Pour respirer notre destin.
Le présent est un puits sans fond, réservant des instants imaginaires
Ou le hasard s’inscrit sans véritables ordres définis.
C’est ce sel qui donne aux journées l’alternative à l’ordinaire,
Le kif de sentir sa vie, sans le carcan suicidaire de l’ennui.
Aujourd’hui ne doit pas être habituel, si on veut que l’adrénaline soit notre voisine,
aujourd’hui a besoin de son stock d’émotions.
De choix, d’options mêmes sans solutions, le rêve ne se lit pas que dans les magazines
Il est le compagnon trublion de nos heures accordéon.
Alors le reste n’est pas prioritaire, encore moins important,
Car l’important c’est ce qui nous consume, nous anime, nous maintient en vie,
Cette soif sans cesse abreuvée que l’on nomme le présent
Mais cela vous l’avez saisi, c’est le supplément chantilly.
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: La vie
"...Je, tu, il, nous, vous, elles
Se lèvent, vivent et se couchent sous le même ciel."
Tiré d'un de mes vieux textes.
Se lèvent, vivent et se couchent sous le même ciel."
Tiré d'un de mes vieux textes.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: La vie
Bonjour merci de votre soutien
Nous allions le jour comme la nuit
Cherchant sans bruit
Un abri une route à prendre
Tout nouveau dans cette merde de galère
C'était le temps des voyages a Quimper
A loriant et partout en fait
Ou notre cœur battait la fête
Ma vie est belle bien qu'elle puisse paraître triste
J'ai écouté et j'ai choisi la vie d'artiste
Dans une forêt un hôtel une chaudière
Partout partager est devenu le monde
Il nous fallait plus que Cunégonde pour y renoncer
La liberté tout le temps partout
Comme une marque de pirate.
Des enfants là qui ont mal grandi
On dors à la lune rousse superbe ce soir
Demain c'est loin et nos espoirs se sont enfuis
Nos douleur enfouie ressurgissent et hurle la nuit.
La terreur d'être encore dans nos vicere nous brûle
C'est le monde que vous vouliez ? Je me demande seul
Je bois je veille ils dorment paisible dans les bois
Et rien n'est plus juste que ce festin de vies aux abois
Nous avons payé cent fois notre du mais ça ne suffit plus
Il nous faut disparaître avant la police et les abus.
Nous allions le jour comme la nuit
Cherchant sans bruit
Un abri une route à prendre
Tout nouveau dans cette merde de galère
C'était le temps des voyages a Quimper
A loriant et partout en fait
Ou notre cœur battait la fête
Ma vie est belle bien qu'elle puisse paraître triste
J'ai écouté et j'ai choisi la vie d'artiste
Dans une forêt un hôtel une chaudière
Partout partager est devenu le monde
Il nous fallait plus que Cunégonde pour y renoncer
La liberté tout le temps partout
Comme une marque de pirate.
Des enfants là qui ont mal grandi
On dors à la lune rousse superbe ce soir
Demain c'est loin et nos espoirs se sont enfuis
Nos douleur enfouie ressurgissent et hurle la nuit.
La terreur d'être encore dans nos vicere nous brûle
C'est le monde que vous vouliez ? Je me demande seul
Je bois je veille ils dorment paisible dans les bois
Et rien n'est plus juste que ce festin de vies aux abois
Nous avons payé cent fois notre du mais ça ne suffit plus
Il nous faut disparaître avant la police et les abus.
Re: La vie
L'errance la nuit... même si elle est belle, c'est bien dur
-
- Petit(e) fan
- Messages : 50
- Inscription : 29 juin 2024 05:57
Re: La vie
Nicole, Keny Arkana j'adore (en plus elle est d'ici et ses textes valent le détour. Moon2 "Nous sommes la somme" j'adore
Re: La vie
https://youtu.be/MKDeCmEDpf8?si=vPc3rePDRHWgwmUg
"Puisqu'il faut tout prendre alors ça sera sans moi "
"Puisqu'il faut tout prendre alors ça sera sans moi "
Re: La vie
Les temps sont durs
Au fur et à mesure
On va dans le mur
Ou vers le futur
Heureusement la vie assure
La partie pauvre du pain
Et nous irons mon copain
Faire un festin du destin
Des gouffres dans l'intestin
On rêve toutes nos promesses d'avenir
Que devenir
Trier les bonnes choses le pire dires
Rare collection de la bizarrerie des jours hire
Hier encore riche aujourd'hui libre
En moi elle est la la poésie elle vibre
C'est ma vie ma ville ma fibre
Capte ça comme Tyler avec un calibre
Je slam une vie sombre soleil qui tape
Une musique sourde comme un gosse qui bat
La rythmique
C'est la vie celle que j'aimerais partager
Vivre et la raconter
C'est ma chance alors il faut chanter
Chanter sans cesse notre monde enchanté
Au fur et à mesure
On va dans le mur
Ou vers le futur
Heureusement la vie assure
La partie pauvre du pain
Et nous irons mon copain
Faire un festin du destin
Des gouffres dans l'intestin
On rêve toutes nos promesses d'avenir
Que devenir
Trier les bonnes choses le pire dires
Rare collection de la bizarrerie des jours hire
Hier encore riche aujourd'hui libre
En moi elle est la la poésie elle vibre
C'est ma vie ma ville ma fibre
Capte ça comme Tyler avec un calibre
Je slam une vie sombre soleil qui tape
Une musique sourde comme un gosse qui bat
La rythmique
C'est la vie celle que j'aimerais partager
Vivre et la raconter
C'est ma chance alors il faut chanter
Chanter sans cesse notre monde enchanté