Il portait des bottes humides et bien vieilles
On l’appelait le cheval noir
Il marchait beaucoup et n’avait qu’une oreille
On l’appelait le cheval noir
C’était un grand homme blond et sûr du monde
Un triste constat qu’il avait dans les yeux et le cœur
Ce ne faisait pas rire tout le monde mais il adorait
Tout ce qui touche à la femme même leurs pièges
Il était vêtu pauvrement et tirait son chapeau
On l’appelait le cheval noir
Il traversait d’un seul jour les grandes plaines
On l’appelait le cheval noir
Et dans sa peine tendre il cherchait l’amour
Partout comme un trésor de longue date
Son désespoir de ne trouver que la bataille
Lui fit sortir son arme une seule fois
On l’a haie et le chassa pour son crime
On l’appelait le cheval noir
Et partout la nouvelle fut envoyée
On l’appelait le cheval noir
Comme la nuit personne ne le voyais – noir
Il se cacha dans les ténèbres du désert
Et devint un indien brodé par la lune vigilante
Il a tué bien des hommes pour son village
Parfois dans les rêves des feux du campement
On parle encore du cheval noir
Le grand blanc qui marche parmi les ombres
On l’appelait le cheval noir.
le cheval noir
Re: le cheval noir
le cheval noir resta dans la mémoire collective
"les états dâmes sont des lapsus incertains"
Re: le cheval noir
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: le cheval noir
UN GRAND CLASSIQUE PLEIN D'AVENTURE ET D'AMITIE
MERCI
MERCI