Réponse discrète au texte de grand corps malade & NIKOLA "Ce que j'aime..."
Aime les gens
Comme ceux qui t'élèvent
Ou ceux qui te font trébucher
Comme ceux qui te regardent
Ou ceux qui t'aveuglent de peine
Comme ceux qui te sourient
Ou ceux qui te moquent d'un rien
Comme ceux qui te parlent
Ou ceux qui te perdent dans le silence
Aimer les gens c'est un devoir d'être
C'est ton droit même si je doute
Que les gens t'aiment à ta juste valeur
Que les gens t'ecoutent vraiment le leur dire
Ainsi il faudrait aimer les gens qui vivent
Cette grande ronde sans danser ensemble
Aimer les gens et pardonne à toi même
Tu vis ta pénitence pour qui pourquoi
Aime les gens c'est ta seule porte de sortie
Avant que la haine te ronge jusqu'aux os.
J'espère la croire un jour possible cette paix
Cette grande paix humaine qu'ils chantent.
Aime les gens après tout c'est bien
Comme tu aimes rêver d'amour
Tu le sais bien, et toute ta souffrance
Toute ta douleur enfouie sous les pleurs
Et ce sourire de façade laisse les
Apprendre des autres et apprend à le dire...
Aime les gens
Re: Aime les gens
Une vie simple c’est comme ça que j’conçois le futur
De toute façon je n’ai pas vraiment le choix
Le monde est parti sans moi, je voudrais juste un toit.
Mais c’est long surtout depuis l’accident de voiture
J’ai dérivé en quelques mois vers cette chambre
Je ne fais rien je regarde le temps qui passe à mesure
Je m’en fiche d’être l’artiste de mes rêves avec les coutures
Et les femmes pimpantes qui m’astiqueraient le membre.
Je veux des choses ordinaires pour respirer les heures restantes
Et prendre mon café avec du goût léger sans autre question
Que ce que sera ma journée, sans avoir à bosser plus que de raison
Je veux une vie évidente qui me permettent d’écrire ce qui me chante
Puis, bien sûr de rêver à plein de mondes fluctuants d’inventer
Des possibles pour les gens qui aiment lire ce que ma poésie livre
Et peut-être un jour me délivrer de ça – d’écrire - pour vivre
Simplement le temps qui passe court caracole – être juste enchanté.
De toute façon je n’ai pas vraiment le choix
Le monde est parti sans moi, je voudrais juste un toit.
Mais c’est long surtout depuis l’accident de voiture
J’ai dérivé en quelques mois vers cette chambre
Je ne fais rien je regarde le temps qui passe à mesure
Je m’en fiche d’être l’artiste de mes rêves avec les coutures
Et les femmes pimpantes qui m’astiqueraient le membre.
Je veux des choses ordinaires pour respirer les heures restantes
Et prendre mon café avec du goût léger sans autre question
Que ce que sera ma journée, sans avoir à bosser plus que de raison
Je veux une vie évidente qui me permettent d’écrire ce qui me chante
Puis, bien sûr de rêver à plein de mondes fluctuants d’inventer
Des possibles pour les gens qui aiment lire ce que ma poésie livre
Et peut-être un jour me délivrer de ça – d’écrire - pour vivre
Simplement le temps qui passe court caracole – être juste enchanté.
Re: Aime les gens
Aimer la nature humaine, c'est difficile certaines fois, car tous les gens ne donnent pas foi en l'humanité, loin s'en faut... Mais il y a des exceptions, heureusement
Re: Aime les gens
Bonjour nicole,
je t'ai écrit perso un message.
J'ai écrit ça pendant ta réponse, j'imagine. oui je pense qu'il y a de l'espoir mais pas forcément dans ce qu'on nous dit ou nous montre je pense qu'il faut aller voir ailleurs dans les strates silencieuses du monde comme on va à la pêche aux nuages et entendre les élans de la jeunesse et de la sagesse qui transpire chez certains d'entre nous... je pense que c'est avec de nouvelles idées qu'on arrivera à rendre possible tout ça.
Sonnet républicain !
La République est en danger un mal de l’intérieur la ronge
La corruption et le mensonge sont les capricieux fantômes
Qui augurent la fin d’un rêve d’unité et de chance. Je songe
A cette fatalité dans l’avis des gens et des grands hommes.
Je rêve d’une France qui se dresse devant l’infamie et l’ordre
Qui impose les autres à être des individualismes névrosés
Hantés par la soif de pouvoir et d’argent quitte à les mordre
Et je crains que cette France soit enfouie sous les pavés et la rosée.
Parfois il me prend à rêver qu’un autre monde possible existe
Qu’il se chante en secret aux oreilles attentives cette respiration
Une intelligence crayonnant des promesses de résistance d’aspiration.
La France tu l’aimes ou tu la changes devrait être un slogan de l’Etat
Car nous comme ceux là savent que la fleur vient d’en bas
De l’once qui germe et fleurit nos idéaux. C’est ça notre mission.
je t'ai écrit perso un message.
J'ai écrit ça pendant ta réponse, j'imagine. oui je pense qu'il y a de l'espoir mais pas forcément dans ce qu'on nous dit ou nous montre je pense qu'il faut aller voir ailleurs dans les strates silencieuses du monde comme on va à la pêche aux nuages et entendre les élans de la jeunesse et de la sagesse qui transpire chez certains d'entre nous... je pense que c'est avec de nouvelles idées qu'on arrivera à rendre possible tout ça.
Sonnet républicain !
La République est en danger un mal de l’intérieur la ronge
La corruption et le mensonge sont les capricieux fantômes
Qui augurent la fin d’un rêve d’unité et de chance. Je songe
A cette fatalité dans l’avis des gens et des grands hommes.
Je rêve d’une France qui se dresse devant l’infamie et l’ordre
Qui impose les autres à être des individualismes névrosés
Hantés par la soif de pouvoir et d’argent quitte à les mordre
Et je crains que cette France soit enfouie sous les pavés et la rosée.
Parfois il me prend à rêver qu’un autre monde possible existe
Qu’il se chante en secret aux oreilles attentives cette respiration
Une intelligence crayonnant des promesses de résistance d’aspiration.
La France tu l’aimes ou tu la changes devrait être un slogan de l’Etat
Car nous comme ceux là savent que la fleur vient d’en bas
De l’once qui germe et fleurit nos idéaux. C’est ça notre mission.
Re: Aime les gens
monochrome
Un soir froid et gris s’annonce comme un triste invité
Timide et les yeux piqués de fatigue
Quelle nuance colorée lui conviendrait
Un baiser chaud quelque fleur sur la table
Un manteau suranné il entre dans la pièce usé autan
Que puisse l’être un homme qui n’a plus le vouloir
Il arpente le couloir sans en être vraiment sûr
Et son ombre gigantesque fait peur aux murs
Quelle détresse quelle triste soir qui me vient là
Comment sourire encore pour se moquer peut-être
La plaisanterie serait qu’il fasse semblant par gêne
J’aime ces soirs pourtant où rien n’est dit
Où nous parlons très peu de très peu de chose
Juste lui et moi nous réconfortant l’un l’autre.
Ah c’était le Vin ! simple nectar d’une lune écarlate
Qui se rempli de nuages noirs sur la table de la nuit
Et nos pensées infectes de mal-être s’envolent
Quand un rire vient fendre soudain la monochromie du soir.
Un soir froid et gris s’annonce comme un triste invité
Timide et les yeux piqués de fatigue
Quelle nuance colorée lui conviendrait
Un baiser chaud quelque fleur sur la table
Un manteau suranné il entre dans la pièce usé autan
Que puisse l’être un homme qui n’a plus le vouloir
Il arpente le couloir sans en être vraiment sûr
Et son ombre gigantesque fait peur aux murs
Quelle détresse quelle triste soir qui me vient là
Comment sourire encore pour se moquer peut-être
La plaisanterie serait qu’il fasse semblant par gêne
J’aime ces soirs pourtant où rien n’est dit
Où nous parlons très peu de très peu de chose
Juste lui et moi nous réconfortant l’un l’autre.
Ah c’était le Vin ! simple nectar d’une lune écarlate
Qui se rempli de nuages noirs sur la table de la nuit
Et nos pensées infectes de mal-être s’envolent
Quand un rire vient fendre soudain la monochromie du soir.
Re: Aime les gens
Merci.
Re: Aime les gens
Oui.
De l'amour car nous en manquons.
De l'amour car nous en manquons.
Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif
Tantôt Street...
Toujours Massif
Re: Aime les gens
L'AMMMMMOUR
La déchirure dans mon âme fait un cri d’enfant perdu
Dans les tourments de la haute mer.
Et dans les villes tortueuses
Un appel d’un autre rivage possible vibre dans mon être
C’est dans les étoiles, dans les toiles, c’est dans la fureur et le bruit
Un autre jour dans un autre monde je serais là-bas
Je le ressens comme une pierre jetée face des larmes fausses
Je sortirai de la Fosse et si je dois creuser dans la nuit et profaner le temps
Je gratterai des tonnes d’immondices pour les distinguer dans ce silence
De film d’horreur au rabais dans une salle obscure d’un spectacle morose
J’irais dans le gouffre amer dévorer les profondeurs et entrer dans leurs ventres
Pour que naisse d’un avion militaire qui mitraille des anges chérubins des vierges
Des amours des amitiés tendres j’irais faire le diable dans les salons intelligents
Pour que je la trouve cette lumière sensuelle qui m’appelle dans les ténèbres.
Puis, cette noirceur sera révolue et j’aurais embrassé la vie une fois pour toute
Lui remettre ces mots comme des délices d’orient et de n’importe où
Où le monde est encore libres de sa respiration et que ceux qui rêvent
Portent dans le message de ceux qui marchent j’aurais tout l’univers pour oreille
Et toutes les lèvres pour baiser, et j’aurais tout l’horizon dans un éclat de rire.
Alors je trouverai l’apaisement des vertueux et je m’endormirai pour toujours
Dans la lumière qui répond à la lumière qui veut jaillir de moi comme un chant
Un chant lointain et profond celui qui offre à l’âme une fenêtre pour voir la Vie
Être de charbon et de suie de douleur triste, je serais le roi de mon accomplissement
Et alors sur mon lit de mort songeant à ma « Rose » je dirais mille fois ton nom avant la fin.
La déchirure dans mon âme fait un cri d’enfant perdu
Dans les tourments de la haute mer.
Et dans les villes tortueuses
Un appel d’un autre rivage possible vibre dans mon être
C’est dans les étoiles, dans les toiles, c’est dans la fureur et le bruit
Un autre jour dans un autre monde je serais là-bas
Je le ressens comme une pierre jetée face des larmes fausses
Je sortirai de la Fosse et si je dois creuser dans la nuit et profaner le temps
Je gratterai des tonnes d’immondices pour les distinguer dans ce silence
De film d’horreur au rabais dans une salle obscure d’un spectacle morose
J’irais dans le gouffre amer dévorer les profondeurs et entrer dans leurs ventres
Pour que naisse d’un avion militaire qui mitraille des anges chérubins des vierges
Des amours des amitiés tendres j’irais faire le diable dans les salons intelligents
Pour que je la trouve cette lumière sensuelle qui m’appelle dans les ténèbres.
Puis, cette noirceur sera révolue et j’aurais embrassé la vie une fois pour toute
Lui remettre ces mots comme des délices d’orient et de n’importe où
Où le monde est encore libres de sa respiration et que ceux qui rêvent
Portent dans le message de ceux qui marchent j’aurais tout l’univers pour oreille
Et toutes les lèvres pour baiser, et j’aurais tout l’horizon dans un éclat de rire.
Alors je trouverai l’apaisement des vertueux et je m’endormirai pour toujours
Dans la lumière qui répond à la lumière qui veut jaillir de moi comme un chant
Un chant lointain et profond celui qui offre à l’âme une fenêtre pour voir la Vie
Être de charbon et de suie de douleur triste, je serais le roi de mon accomplissement
Et alors sur mon lit de mort songeant à ma « Rose » je dirais mille fois ton nom avant la fin.