session slam 8 février
Publié : 27 janv. 2025 08:44
bonjour je présente un texte que je dirais peut-être lors d'une session slam en février. dites moi si c'est trop compliqué ou trop long merci d'avance.
Je m’en bats des masses, L’S. K. Y. pour toit je suis posé
Comme toutes règles ma douleur est ménopausée
La cicatrice me gratte et des gouttes de pluie bienfaisante
Adoucissent ma nuit en glissant de ma joue brillante
Ne sous-estime pas le reflet que je renvoie pauvre homme
Bon garçon en bluejean sous les partitions des câbles télécom
Je siffle aux oiseaux comment frauder un laps de temps l’éternité
J’ai oublié mes promesses de réussir comme le monde, sa nullité
Les frères sont pris au piège de leurs tristes mentalités fatalité
Je ne sais pas – je conçois des autres raisons de faire de la qualité
Je pose dose ma prose le monde est chausse vient on cause d’autre chose
Les tunes à terme ça tue l’âme, ce qu’il y a faire sinon bah j’ose
Téma la street life c’est du poison je viens de la cité des enragés des voyous
Des jours de rien des pièges à con des vies honnêtes des pierres des cailloux
Le carnaval de l’enfer du devoir de faire plus que l’autre pour briller haut
Au risque de passer sur le billot et de perdre un deux trois frère dans l’héro
J’ai composé ce numéro de cirque derrière les barreaux pour violence
J’ai des erreurs qui doivent passer à la trappe je gonfle le torse et me lance
Je slame mes mots mes modernités pour tsunamiser tout de toute mon humanité
Je viens de ce coin où les esprits chauffent comme lézard au soleil et vesqui le filet
De la mendicité aux mondanités il n’y a qu’un pas demande à ces rapiats
Qui travestissent le rap et prostitue sur prospectus la liberté, la rage aux parias
Je parasite leurs colonnes de chiffre comme dans matrix je suis l’anomalie
Qui annonce la fin de leur monde affamé d’or comme si c’était une maladie
Qu’ils croupissent dans cage dorée avec le fruit de leur profit pour tout repas
Je parle de quoi ? si t’es perdu ! demande à tes renpa ce qu’est un homme mon gars
Pauvre homme mais bon garçon je pianote comme Cécil Gant ma loose sur clavier
Pas du caviar pour eux mais un art sot d’un ingrat qui gratte son nom de gitan voilier
Je ne veux pas de leurs couronnes de leur médaille de leurs place de la palace
Je veux que la Palestine sorte son épingle du jeu et que la guerre s’efface
Comme la lune passe quand le soleil prend place dans un ciel sauvage et pur
Si je parle de ma vision c’est pour le futur, parce que ma vie est une histoire dure.
J’erre sur les bords de l’Odet, pour un godet comme un don Quichotte chassant des moulins
Je grave non loin du Steir mes poèmes dérisoires pour entrer dans l’histoire du Moulin
Petit malin avec capuche qui se cramponne je slame ma life comme un thug blanchi
La vie tue, fumer tue dans ce monde sombre où plus personne n’écrit mais crie plie
Seulement après il prie, j’ai de l’esprit et le devoir de rendre grâce à l’espoir
Avec ce récit milliardaire d’histoire que je vous remercie d’avoir écouté ce soir.
Je m’en bats des masses, L’S. K. Y. pour toit je suis posé
Comme toutes règles ma douleur est ménopausée
La cicatrice me gratte et des gouttes de pluie bienfaisante
Adoucissent ma nuit en glissant de ma joue brillante
Ne sous-estime pas le reflet que je renvoie pauvre homme
Bon garçon en bluejean sous les partitions des câbles télécom
Je siffle aux oiseaux comment frauder un laps de temps l’éternité
J’ai oublié mes promesses de réussir comme le monde, sa nullité
Les frères sont pris au piège de leurs tristes mentalités fatalité
Je ne sais pas – je conçois des autres raisons de faire de la qualité
Je pose dose ma prose le monde est chausse vient on cause d’autre chose
Les tunes à terme ça tue l’âme, ce qu’il y a faire sinon bah j’ose
Téma la street life c’est du poison je viens de la cité des enragés des voyous
Des jours de rien des pièges à con des vies honnêtes des pierres des cailloux
Le carnaval de l’enfer du devoir de faire plus que l’autre pour briller haut
Au risque de passer sur le billot et de perdre un deux trois frère dans l’héro
J’ai composé ce numéro de cirque derrière les barreaux pour violence
J’ai des erreurs qui doivent passer à la trappe je gonfle le torse et me lance
Je slame mes mots mes modernités pour tsunamiser tout de toute mon humanité
Je viens de ce coin où les esprits chauffent comme lézard au soleil et vesqui le filet
De la mendicité aux mondanités il n’y a qu’un pas demande à ces rapiats
Qui travestissent le rap et prostitue sur prospectus la liberté, la rage aux parias
Je parasite leurs colonnes de chiffre comme dans matrix je suis l’anomalie
Qui annonce la fin de leur monde affamé d’or comme si c’était une maladie
Qu’ils croupissent dans cage dorée avec le fruit de leur profit pour tout repas
Je parle de quoi ? si t’es perdu ! demande à tes renpa ce qu’est un homme mon gars
Pauvre homme mais bon garçon je pianote comme Cécil Gant ma loose sur clavier
Pas du caviar pour eux mais un art sot d’un ingrat qui gratte son nom de gitan voilier
Je ne veux pas de leurs couronnes de leur médaille de leurs place de la palace
Je veux que la Palestine sorte son épingle du jeu et que la guerre s’efface
Comme la lune passe quand le soleil prend place dans un ciel sauvage et pur
Si je parle de ma vision c’est pour le futur, parce que ma vie est une histoire dure.
J’erre sur les bords de l’Odet, pour un godet comme un don Quichotte chassant des moulins
Je grave non loin du Steir mes poèmes dérisoires pour entrer dans l’histoire du Moulin
Petit malin avec capuche qui se cramponne je slame ma life comme un thug blanchi
La vie tue, fumer tue dans ce monde sombre où plus personne n’écrit mais crie plie
Seulement après il prie, j’ai de l’esprit et le devoir de rendre grâce à l’espoir
Avec ce récit milliardaire d’histoire que je vous remercie d’avoir écouté ce soir.